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Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS

Le CPL : En 89, seule l’armée syrienne possédait - des canons de 240

La section estudiantine du Courant patriotique libre (CPL) a imputé à la Syrie la responsabilité du bombardement en 1989 dans le secteur de l’Unesco qui avait entraîné la mort de nombreux civils. Dans un communiqué publié hier en réponse à la manifestation prévue pour aujourd’hui, mardi, pour commémorer ce massacre, le CPL a précisé que «la vérité a toujours eu un prix que certains ont payé de leur liberté, d’autres de leur fortune et enfin d’autres qui l’ont payé de leur vie. Tel a été le cas du regretté mufti de la République, cheikh Hassan Khaled, qui a été assassiné pour avoir dit à l’ambassadeur du Koweït à l’époque que les tirs d’artillerie provenaient de Beyrouth-Ouest». «Douze ans après ce massacre commis par l’occupant, le rassemblement des boursiers des universités syriennes et quelques individus qui ont pris le parti de tirer sur les soldats syriens pour les empêcher de se retirer du Liban organisent une manifestation pour répondre à celle de la dignité nationale» du 14 mars, a poursuivi le communiqué. «C’est l’armée syrienne, qui seule possédait des canons de 240 millimètres, qui a commis ce massacre, tout comme ceux de Fayadié (13 tués dans un abri), de Furn el-Chebbak (13 tués dans un abri), de Bsouss (13 civils tués de sang-froid après le cessez-le-feu) pour n’en citer que quelques-uns», conclut le communiqué.
La section estudiantine du Courant patriotique libre (CPL) a imputé à la Syrie la responsabilité du bombardement en 1989 dans le secteur de l’Unesco qui avait entraîné la mort de nombreux civils. Dans un communiqué publié hier en réponse à la manifestation prévue pour aujourd’hui, mardi, pour commémorer ce massacre, le CPL a précisé que «la vérité a toujours eu un...