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Actualités - OPINIONS

courrier - Pour en finir avec tara tata

En réponse à un billet de Fifi Aboudib dans notre édition du 3 mars 2001, nous recevons du président du RPL Simon Abi Ramya le courrier suivant : (...) Onze ans après que les S... , comme vous les appelez dans votre billet, (...) aient asservi notre pays, secondés par les forces de la trahison et hélas, celles de la naïveté coupable, ceux que vous désignez par le terme affectueusement condescendant de «petits malins» n’ont cessé, sans armes et sans armures, de maintenir vivace dans la nuit de notre histoire la lueur de l’espérance. Le «tara tata» qui semble vous hérisser claironnera, soyez-en sûre, encore longtemps, car grâce à la flamme de ceux qui l’émettent l’espérance vient à l’âme et le courage monte au cœur au service de la libération de la patrie sans laquelle il ne peut y avoir pour son peuple ni prospérité, ni dignité, ni place dans l’histoire mais asservissement, médiocrité et disparition. (...) Un peuple malheureux brûle encore pour atteindre l’inaccessible étoile appelée liberté, synonyme dans notre jargon aujourd’hui de «tara tata»... Le Rassemblement pour le Liban Simon Abi Ramya NDRL : Mon billet était à placer dans le contexte social d’une période que j’ai vécue. Il ne justifiait donc pas – à mes yeux – une telle levée de boucliers de la part des aounistes dont je respecte par ailleurs l’objectif ultime et «l’inaccessible étoile». Si la résistance a encore un sens aujourd’hui, sans doute serait-il dans l’acceptation des jeunes d’exercer au Liban-même leur savoir-faire. Allez! Sans rancune, et...tara tata!
En réponse à un billet de Fifi Aboudib dans notre édition du 3 mars 2001, nous recevons du président du RPL Simon Abi Ramya le courrier suivant : (...) Onze ans après que les S... , comme vous les appelez dans votre billet, (...) aient asservi notre pays, secondés par les forces de la trahison et hélas, celles de la naïveté coupable, ceux que vous désignez par le terme...