Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS
Haoui : Nous allons « forcer » - le pouvoir à dialoguer
le 29 janvier 2001 à 00h00
Georges Haoui doit être un peu fatigué d’avoir répété pendant trois jours que cette réunion «n’est contre personne». Il n’empêche, dans une discussion avec L’Orient-Le Jour, avant-hier samedi en sa résidence de Bteghrine, il a réaffirmé que cette réunion n’était pas une agression envers le chef de l’État et que si ce dernier était «de bonne foi, il fallait qu’il considère ce déjeuner d’un bon œil. Dans tous les cas, nous allons “forcer” le pouvoir au dialogue», a-t-il presque promis. Insistant sur le fait que c’était la première réunion qui n’était pas autorisée «par un État, une ambassade ou un conseiller étranger», Georges Haoui a espéré de cette rencontre qu’elle «éveille la conscience des Libanais pour qu’ils puissent se sortir, main dans la main, de la crise». L’ex-secrétaire du PCL a également indiqué qu’un rendez-vous collectif allait être demandé aux présidents Lahoud, Berry et Hariri, et que si les partis politiques n’avaient pas été conviés, c’est parce qu’«avaient déjà un cadre au sein duquel ils pouvaient s’exprimer ensemble. Et puis cette réunion n’est pas une fédération des confessions, même s’il est normal que les Libanais l’interprètent comme cela. Les personnes conviées sont plus importantes que les confessions», a-t-il souligné.
Georges Haoui doit être un peu fatigué d’avoir répété pendant trois jours que cette réunion «n’est contre personne». Il n’empêche, dans une discussion avec L’Orient-Le Jour, avant-hier samedi en sa résidence de Bteghrine, il a réaffirmé que cette réunion n’était pas une agression envers le chef de l’État et que si ce dernier était «de bonne foi, il fallait...
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