La chenille processionnaire (Notre photo) ce fléau qui frappe les forêts de pins et de chênes depuis plusieurs années, fait des ravages au Akkar, selon notre correspondant Michel Hallak. Et pourtant, des campagnes de pulvérisation de produits biologiques ont été menées dans les différentes forêts par l’armée (qui a utilisé ses hélicoptères à cette fin), en coopération avec le ministère de l’Agriculture, ainsi que par certaines associations écologiques. Mais ces campagnes se sont avérées insuffisantes parce que des quantités de jeunes chenilles passent une année dans le sol, n’attaquant l’arbre qu’un an plus tard. Ce comportement imprévisible rend les insectes plus dangereux encore, surtout qu’ils construisent leurs nids par centaines sur chaque arbre. Lorsqu’ils atteignent la maturité, la seule façon de les détruire avant qu’ils ne mangent toutes les feuilles de leur hôte infortuné est de les en arracher manuellement. Il faut noter que leur multiplication est due entre autres à la disparition des espèces d’oiseaux qui sont leurs prédateurs naturels.
La chenille processionnaire (Notre photo) ce fléau qui frappe les forêts de pins et de chênes depuis plusieurs années, fait des ravages au Akkar, selon notre correspondant Michel Hallak. Et pourtant, des campagnes de pulvérisation de produits biologiques ont été menées dans les différentes forêts par l’armée (qui a utilisé ses hélicoptères à cette fin), en coopération...
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