Les forces russes piétinent devant la ville stratégique d’Ourous-Martan, à 20 km au sud-ouest de Grozny, où elles se heurtent à une forte résistance tandis que les combattants tchétchènes s’infiltrent derrière leurs lignes dans les localités «libérées» du Nord. «Nous sommes constamment attaqués, y compris la nuit, dans des endroits pourtant revenus sous notre contrôle», déplore un officier russe. Depuis quatre jours, en effet, les forces fédérales font face à une contre-attaque des Tchétchènes dans la région de Goudermès, deuxième ville de la république. De violents combats se poursuivaient hier à Alleroï ainsi qu’à Novogroznenski et Noïbera, deux localités reprises aux Russes, ont indiqué des sources militaires à Grozny. De son côté, le président tchétchène Aslan Maskhadov a appelé les militaires russes à déserter, promettant la vie sauve et «la protection d’Allah» aux déserteurs comme aux soldats faits prisonniers.
Les forces russes piétinent devant la ville stratégique d’Ourous-Martan, à 20 km au sud-ouest de Grozny, où elles se heurtent à une forte résistance tandis que les combattants tchétchènes s’infiltrent derrière leurs lignes dans les localités «libérées» du Nord. «Nous sommes constamment attaqués, y compris la nuit, dans des endroits pourtant revenus sous notre contrôle»,...
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