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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Baalbeck, pourquoi le discrédit ?

Nous recevons du Dr Hélène Sader, professeur d’archéologie à l’Université américaine de Beyrouth et membre du Comité chargé de la mise en valeur du site de Baalbeck, la communication suivante: «L’Orient-Le Jour a publié samedi 13 juin 1998, page 11, un article intitulé: «Baalbeck coule... dans le béton». Dans cet article, c’est malheureusement l’information qui coule... dans l’erreur en jetant le discrédit sur l’un des plus importants projets de mise en valeur d’un site archéologique au Liban, qui se fait dans le respect de toutes les normes internationales de préservation des monuments anciens. Les informations sont à la fois erronées et partielles. Les responsables sont en effet accusés d’allumer un autre feu d’artifice en couvrant le sol cimenté de dalles blanches «carrelage d’office de cuisine, sinon de salles de bains». Et la question est posée: «Pourquoi pas une pierre libanaise couleur terre qui accrocherait moins le regard?...». Tout d’abord, le sol des galeries n’est pas cimenté: c’est une invention pure et simple. Deuxièmement, les dalles sont des pierres libanaises jaunes de Arsal et la couleur blanche n’est que le lait de ciment de remplissage des joints (rawbé) qui recouvre toutes les dalles en attendant le ponçage. Les critiques sont donc parfaitement injustifiées. Pour terminer, c’est une et non trois des galeries qui servira de musée et il n’a jamais été question de «bétonner» le sol mais de le «daller». Il est du droit des lecteurs d’être informés sur le sort de leur patrimoine, etc.».
Nous recevons du Dr Hélène Sader, professeur d’archéologie à l’Université américaine de Beyrouth et membre du Comité chargé de la mise en valeur du site de Baalbeck, la communication suivante: «L’Orient-Le Jour a publié samedi 13 juin 1998, page 11, un article intitulé: «Baalbeck coule... dans le béton». Dans cet article, c’est malheureusement l’information qui...