Beyrouth, capitale de l'Université mondiale de la francophonie Dans ce numéro, notre dossier spécial AUPELF-UREF

Beyrouth sera, cette semaine, la capitale de l’Université mondiale de la francophonie; c’est ce matin en effet que s’ouvre, au palais de l’UNESCO, la XIIe assemblée générale de l’AUPELF-UREF (Association des Universités partiellement ou entièrement de langue française — Université des réseaux d’expression française); prendront part à ces assises, qui seront clôturées jeudi 30 avril, les recteurs, directeurs, doyens ou autres responsables de non moins de 400 universités, grandes écoles, centres de recherche et réseaux institutionnels du monde entier. La séance d’ouverture sera marquée notamment par des discours du président Elias Hraoui, du président sortant de l’AUPELF-UREF M. Michel Gervais, du secrétaire général à la Francophonie M. Boutros Boutros-Ghali, et de Mme Thi Binh Guyen, vice-présidente de la République socialiste du Vietnam, pays qui est le président en exercice de la Francophonie. Outre les questions organisationnelles dont elle aura à traiter (et parmi celles-ci l’élection des 23 membres du nouveau conseil d’administration de l’AUPELF et de son nouveau président), cette XIIe assemblée générale de l’AUPELF-UREF donnera lieu à deux importantes manifestations: — Le forum de l’Innovation scientifique francophone; — et le «3e Forum de l’An 2000», qui aura pour thème «Mondialisation et Francophonie». «L’Orient-Le Jour» a été pleinement associé à cet événement en tout point exceptionnel, qui ne contribue pas peu à refaire de Beyrouth la capitale de la Culture dans cette partie du monde; en tant que sponsor de ces forums du siècle finissant, notre journal prend ainsi le relais d’institutions telles qu’Arte, France-Télévision, Radio-France, «Le Monde» et les Editions Flammarion. Quels sont les champs d’activité de l’AUPELF-UREF et ses prestations? Quels profits, notamment en matière de mise à niveau ou d’octroi de Bourses, en tire notre pays, établissements, enseignants et étudiants confondus? Les réponses à ces questions, nos lecteurs — et plus particulièrement les jeunes, ainsi que leurs parents — les trouveront dans le tiré à part de quatre pages que renferme, en son centre, le présent exemplaire de «L’Orient-Le Jour».