La compagnie pétrolière américaine Texaco a affirmé mercredi qu’elle n’avait ni payé de rançon, ni pris d’engagement pour la libération de ses huit employés enlevés la semaine dernière sur une plate-forme pétrolière dans le sud-est du Nigeria. Les huit employés, trois Américains, un Britannique, un Croate, un Italien, un Sud-Africain et un Nigérian, enlevés le 11 novembre par des jeunes gens du village de Foropah, près de la ville pétrolière de Warri, capitale de l’État du Delta (sud-est du Nigeria), ont été relâchés «sains et saufs» mardi à l’issue de négocations, sur lesquelles la compagnie n’a fourni aucune précision, entre les responsables de la Texaco et les ravisseurs. Les autres compagnies pétrolières opérant dans la région avaient exhorté la Texaco à ne verser aucune rançon aux ravisseurs pour éviter un phénomène de contagion. La prise en otage de personnels des compagnies pétrolières internationales opérant dans le sud du Nigeria par des membres des communautés de ces régions, qui comptent parmi les plus pauvres du pays, pour obtenir des emplois ou des compensations pour des dommages réels ou fictifs, est devenue monnaie courante ces dernières années.
La compagnie pétrolière américaine Texaco a affirmé mercredi qu’elle n’avait ni payé de rançon, ni pris d’engagement pour la libération de ses huit employés enlevés la semaine dernière sur une plate-forme pétrolière dans le sud-est du Nigeria. Les huit employés, trois Américains, un Britannique, un Croate, un Italien, un Sud-Africain et un Nigérian, enlevés le 11 novembre par des jeunes gens du village de Foropah, près de la ville pétrolière de Warri, capitale de l’État du Delta (sud-est du Nigeria), ont été relâchés «sains et saufs» mardi à l’issue de négocations, sur lesquelles la compagnie n’a fourni aucune précision, entre les responsables de la Texaco et les ravisseurs. Les autres compagnies pétrolières opérant dans la région avaient exhorté la Texaco à ne verser aucune rançon aux...