Pour la médecine coloniale, la seule protection contre l’ardeur solaire se limitait à un casque, doublé de 0,50 cm de liège, recouvert de toile. Aujourd’hui, une usine française propose un T-shirt antisolaire en mesure d’assurer la protection des jeunes enfants des morsures du soleil. Le vêtement en question est taillé dans un tissu réalisé à base de fibres, mises au point par un laboratoire néerlandais. Ces fibres de viscose, obtenues à partir de bois de pin, grâce à un procédé complexe de liquéfaction, contiennent des pigments incorporés faisant barrage aux rayons ultraviolets. Leur action consiste à absorber une partie des UVA et à réfléchir le reste. Ceci en fonction de la longueur d’ondes des rayons incriminés. Leur efficacité autorise une exposition trente fois plus longue aux UVA et aux UVB, excluant toute répercussion indésirable. Cette découverte servira aussi pour fabriquer des vêtements destinés aux personnes brûlées, une fois guéries. Jusqu’à présent, l’exposition aux rayons solaires leur était strictement interdite, à titre préventif, leur peau ayant développé une très grande sensibilité aux rayons solaires.
Pour la médecine coloniale, la seule protection contre l’ardeur solaire se limitait à un casque, doublé de 0,50 cm de liège, recouvert de toile. Aujourd’hui, une usine française propose un T-shirt antisolaire en mesure d’assurer la protection des jeunes enfants des morsures du soleil. Le vêtement en question est taillé dans un tissu réalisé à base de fibres, mises au point par un laboratoire néerlandais. Ces fibres de viscose, obtenues à partir de bois de pin, grâce à un procédé complexe de liquéfaction, contiennent des pigments incorporés faisant barrage aux rayons ultraviolets. Leur action consiste à absorber une partie des UVA et à réfléchir le reste. Ceci en fonction de la longueur d’ondes des rayons incriminés. Leur efficacité autorise une exposition trente fois plus longue aux UVA et aux UVB,...