À moins d’une semaine de l’investiture du président élu Émile Lahoud, les États-Unis ont apporté hier leur soutien au nouveau chef de l’Etat, par la bouche du secrétaire d’État adjoint pour le Proche-Orient, Martin Indyk. Se félicitant dans une interview à Radio-Orient de l’excellence des relations entre Washington et le général Lahoud, et affirmant s’attendre à ce que l’Administration américaine collabore avec son régime «en toute confiance», M. Indyk a également exprimé le satisfecit des États-Unis à l’égard des deux autres pôles du pouvoir, le premier ministre Rafic Hariri et le chef du Parlement Nabih Berry. Le responsable américain a ainsi estimé que la formule Lahoud-Hariri-Berry était «très bonne pour le Liban», un pays auquel il prévoit un avenir «prometteur et prospère». Réaffirmant la position américaine en faveur d’un retrait de toutes les forces étrangères du Liban, M. Indyk a par ailleurs estimé que les négociations de paix syro-israéliennes et libano-israéliennes pourraient être relancées dès que l’application de l’accord israélo-palestinien de Wye Plantation aura progressé.
À moins d’une semaine de l’investiture du président élu Émile Lahoud, les États-Unis ont apporté hier leur soutien au nouveau chef de l’Etat, par la bouche du secrétaire d’État adjoint pour le Proche-Orient, Martin Indyk. Se félicitant dans une interview à Radio-Orient de l’excellence des relations entre Washington et le général Lahoud, et affirmant s’attendre...
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