C’est dans une indifférence quasi générale qu’une grande partie des pins du Chouf est actuellement menacée de dessèchement. Le phénomène se caractérise par un jaunissement graduel, puis leur chute. Les pins alors se dessèchent et meurent. Ce phénomène a été surtout observé dans les régions de Deir el-Kamar, Beiteddine, Niha, Bater et Aïn Zhalta. La raison du dessèchement ne semble pas être en rapport avec les chenilles puisqu’aucune trace de ces insectes n’a été observée sur les pins touchés. Il s’agit donc d’un fléau différent et inconnu. Il est indispensable que les ministères de l’Agriculture et de l’Environnement dépêchent des experts pour examiner ces pins malades, déterminer les causes de la catastrophe et les traiter afin d’en empêcher l’extension. Les pins au Chouf constituent une importante fortune forestière puisqu’ils se comptent par centaines de milliers. Leurs fruits, les pignons, sont parmi les plus chers: un kilogramme se vend à 35 mille livres libanaises ou plus. Les pins sont également connus pour leur action positive sur l’environnement, et leur dessèchement a des répercussions très négatives sur la nature et sur le climat.
C’est dans une indifférence quasi générale qu’une grande partie des pins du Chouf est actuellement menacée de dessèchement. Le phénomène se caractérise par un jaunissement graduel, puis leur chute. Les pins alors se dessèchent et meurent. Ce phénomène a été surtout observé dans les régions de Deir el-Kamar, Beiteddine, Niha, Bater et Aïn Zhalta. La raison du dessèchement ne semble pas être en rapport avec les chenilles puisqu’aucune trace de ces insectes n’a été observée sur les pins touchés. Il s’agit donc d’un fléau différent et inconnu. Il est indispensable que les ministères de l’Agriculture et de l’Environnement dépêchent des experts pour examiner ces pins malades, déterminer les causes de la catastrophe et les traiter afin d’en empêcher l’extension. Les pins au Chouf constituent une...