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Actualités - CHRONOLOGIE

Pilule et coeur

Les contraceptifs oraux féminins qui contiennent de faibles quantités d’œstrogènes n’augmentent pas le risque de congestion cérébrale chez leurs utilisatrices, affirment des chercheurs dans l’hebdomadaire américain Circulation. L’étude réalisée auprès de 1 564 femmes âgées de 18 à 44 ans par l’équipe du docteur Stephen Schwartz, de l’université de Washington, à Seattle, contredit une série d’anciennes études qui avaient toutes conclu à l’existence d’un lien entre pilule et maladie cardiovasculaire. En comparant les femmes qui prenaient un contraceptif oral à celles qui n’en prenaient pas, les chercheurs ont établi que les personnes faisant partie du premier groupe couraient un risque de 9 à 11 % plus élevé que les autres d’être victimes d’une congestion cérébrale. «Nous estimons qu’aucun de ces chiffres ne constitue une différence statistiquement importante», a conclu le docteur Schwartz. En septembre dernier, une étude publiée dans la même revue Circulation avait déjà remis en cause le lien fait par de précédents travaux entre l’usage de la pilule contraceptive et le risque de maladie coronarienne. «Aussi bien pour les maladies coronariennes que les congestions cérébrales, nous avons maintenant la preuve que les femmes qui ne présentent pas de facteur aggravant le risque de maladie cardiovasculaire – tabac, hypertension, obésité – peuvent utiliser la pilule en toute sécurité», a conclu le docteur Schwartz.
Les contraceptifs oraux féminins qui contiennent de faibles quantités d’œstrogènes n’augmentent pas le risque de congestion cérébrale chez leurs utilisatrices, affirment des chercheurs dans l’hebdomadaire américain Circulation. L’étude réalisée auprès de 1 564 femmes âgées de 18 à 44 ans par l’équipe du docteur Stephen Schwartz, de l’université de Washington, à Seattle, contredit une série d’anciennes études qui avaient toutes conclu à l’existence d’un lien entre pilule et maladie cardiovasculaire. En comparant les femmes qui prenaient un contraceptif oral à celles qui n’en prenaient pas, les chercheurs ont établi que les personnes faisant partie du premier groupe couraient un risque de 9 à 11 % plus élevé que les autres d’être victimes d’une congestion cérébrale. «Nous estimons...