Actualités - CHRONOLOGIE
Royale, Feyrouz a scintillé au firmament de Baalbeck (photos)
Par GEMAYEL Aline, le 15 août 1998 à 00h00
Les escaliers du temple de Jupiter ont retrouvé les «Nuits libanaises» et tout leur panache d’antan. En présence du chef de l’Etat et de nombreux ministres et députés, royale, Feyrouz a scintillé au firmament de Baalbeck. «Je suis à Baalbeck après vingt ans d’absence», lance-t-elle en ouverture. Tout de blanc vêtue, elle entonne un hymne à la beauté des lieux. «Baalbeck, je suis un cierge sur tes marches...», dit-elle d’une voix (play-back ou semi, peu importe) que rien ne semble altérer. Majestueuse, elle est la maîtresse des lieux. Les extraits de trois pièces, «Le pont de la lune», «Les montagnes du Souane» et «La gardienne des clés», offrent des tableaux à la chorégraphie soignée. Ensuite, deux nouveautés signées Mansour et Elias Rahbani. Assi n’est pas absent du concert, puisqu’un très bel hommage lui est rendu à travers des projections vidéo et l’enregistrement de sa voix. Pour finir, un superbe «mouwachah» dans lequel Feyrouz a dit au-revoir au public. Le président Hraoui a tenu à monter sur les planches pour féliciter la diva, lui assurant que «les escaliers et les colonnes de Baalbeck n’ont pu que se souvenir de vous...»
Les escaliers du temple de Jupiter ont retrouvé les «Nuits libanaises» et tout leur panache d’antan. En présence du chef de l’Etat et de nombreux ministres et députés, royale, Feyrouz a scintillé au firmament de Baalbeck. «Je suis à Baalbeck après vingt ans d’absence», lance-t-elle en ouverture. Tout de blanc vêtue, elle entonne un hymne à la beauté des lieux....
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