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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Abou Rizk : nous serons intraitables face à la corruption , le gaspillage, la privatisation ...

Le président de la Confédération générale des travailleurs au Liban (CGTL), M. Elias Abou Rizk, a déclaré que la centrale syndicale «n’est pas partie prenante dans les manœuvres politiciennes», mais a assuré qu’elle demeurera un protagoniste «solide, entêté et intraitable contre la corruption, le gaspillage, l’endettement et les politiques affamant les gens». Quelques jours à peine après sa réélection à la présidence de la CGTL, M. Abou Rizk a renoué avec ses discours revendicatifs et ses critiques à l’égard du gouvernement. Lors d’une réception organisée à l’Hôtel Bristol, le leader syndical a défini les priorités de la CGTL: lutter contre la privatisation et contre la liquidation du secteur public et des industries productives. De nombreux hommes politiques et militants syndicalistes se sont rendus au Bristol pour féliciter M. Abou Rizk. Mais c’est la présence du président de la Chambre, M. Nabih Berry, qui a était la plus remarquée. Il faut rappeler que les partisans du mouvement Amal au sein du comité exécutif de la CGTL ont voté en faveur de M. Abou Rizk. Etaient également présents le vice-président du Parlement, M. Elie Ferzli, les présidents Hussein Husseini, Rachid Solh et Sélim Hoss, les ministres Jean Obeid, Béchara Merhej et Assaad Hardane, les députés Najah Wakim, Ismaïl Sukkariyé, Zaher el-Khatib, Hussein Hajj Hassan, Ammar Moussaoui, Ali Khalil, Marwan Hamadé, Mohammed Youssef Beydoun, Salah Haraké, Camille Ziadé, Nassib Lahoud, le président de l’Ordre de la presse, M. Mohammed Baalbaki et le vice-président de l’Ordre des journalistes, M. Antoine Chidiac, représentant M. Melhem Karam et l’ancien président de la CGTL, M. Ghanim Zoghbi. Dans une allocution de circonstance, M. Abou Rizk a déclaré que la CGTL «aura recours à toutes les méthodes démocratiques dont la grève et les manifestations pour lutter contre la corruption et mettre un terme aux politiques destructives et aux tentatives visant à augmenter les impôts».
Le président de la Confédération générale des travailleurs au Liban (CGTL), M. Elias Abou Rizk, a déclaré que la centrale syndicale «n’est pas partie prenante dans les manœuvres politiciennes», mais a assuré qu’elle demeurera un protagoniste «solide, entêté et intraitable contre la corruption, le gaspillage, l’endettement et les politiques affamant les gens»....