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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Aoun : une fête manquée

Sous le titre: «Le 1er août, une fête manquée», le général Michel Aoun a estimé dans sa lettre hebdomadaire transmise via Internet que la fête de l’armée ne pouvait être célébrée, «la souveraineté du pays étant spoliée». «Votre lutte se poursuit», a-t-il dit en s’adressant aux Libanais. «On vous a acculés à des choix électoraux et certains d’entre vous sont tombés dans le piège. Ceux-là sont ainsi revenus à la mentalité féodale, tribale et sectaire, se sont inclinés devant la puissance de l’argent et du pouvoir, poussés par la cupidité ou par le besoin», a-t-il dit. Qualifiant de «mascarade» l’opposition de l’intérieur, le général Aoun a affirmé que celle-ci ne pouvait en être une «puisqu’elle ne résiste pas à l’occupation». «Huit ans vous suffisent pour vous convaincre de ce que nous vous avions dit», a-t-il déclaré avant de poursuivre: «Du reste, votre dignité est aujourd’hui bafouée et votre liberté n’est plus qu’une illusion». L’ancien premier ministre conclut: «Un retour à la normale n’est guère concevable au Liban tant que votre volonté reste aliénée. Beyrouth doit ainsi récupérer sa décision politique, économique et sécuritaire, et votre choix doit être celui du courant national libre qui unit vos efforts dans le sens de la libération. Ne vous laissez donc pas prendre au jeu d’un pouvoir inexistant et d’une compétition insignifiante en l’absence de la démocratie et des libertés publiques», a-t-il ajouté.
Sous le titre: «Le 1er août, une fête manquée», le général Michel Aoun a estimé dans sa lettre hebdomadaire transmise via Internet que la fête de l’armée ne pouvait être célébrée, «la souveraineté du pays étant spoliée». «Votre lutte se poursuit», a-t-il dit en s’adressant aux Libanais. «On vous a acculés à des choix électoraux et certains d’entre vous...