La CGTL a notamment déploré «l’occupation israélienne qui se poursuit au Liban-Sud». Elle a également critiqué «l’indifférence du Pouvoir face à la misère populaire».
A ce propos, la CGTL a renouvelé son engagement et sa persistance à «continuer la lutte, en coopération avec les forces populaires et la société civile qui se rendent de plus en plus compte de la nécessité de prendre leur destinée et celle du pays en main».
Elle a annoncé sa détermination à mener des grèves, des manifestations, des réunions populaires et des séminaires, dans le but de réaliser les demandes populaires qu’elle a résumées comme suit:
1. Protection des libertés publiques, notamment syndicales.
2. Mise au point d’une politique sociale et financière qui prenne en compte l’état actuel du Liban et les crises dont il est le théâtre.
3. Majoration des salaires et développement des services sociaux.
4. Elaboration d’une loi équitable sur les loyers.
5. Protection de la main-d’œuvre locale, notamment contre la compétition illégale de travailleurs étrangers.
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