Mondes fantastiques, «marches» calligraphiques ou «arabesques» de femmes... des œuvres tantôt violentes, tantôt sensuelles, tout en maîtrise et doigté, exécutées entre 1960 et 1990, presque toutes empruntées à la collection privée de l’artiste.
Actualités - CHRONOLOGIE
Juliana Séraphim au Bristol
le 20 décembre 1997 à 00h00
Mondes fantastiques, «marches» calligraphiques ou «arabesques» de femmes... des œuvres tantôt violentes, tantôt sensuelles, tout en maîtrise et doigté, exécutées entre 1960 et 1990, presque toutes empruntées à la collection privée de l’artiste.
Une trentaine de gouaches, de dessins et de gravures de Juliana Séraphim sont exposées, jusqu’à ce soir, dans le «Salon oriental» de l’hôtel Bristol.Mondes fantastiques, «marches» calligraphiques ou «arabesques» de femmes... des œuvres tantôt violentes, tantôt sensuelles, tout en maîtrise et doigté, exécutées entre 1960 et 1990, presque toutes empruntées à la...
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