La France sera le garant d’un échange de prisonniers et de corps de résistants libanais anti-israéliens contre des dépouilles de soldats israéliens, a annoncé le secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah.
Dans une interview télévisée diffusée dans la nuit de mardi à mercredi, cheikh Nasrallah a précisé que «Paris garantira un échange de détenus libanais et de corps de combattants anti-israéliens contre les restes de soldats israéliens tués en septembre au Liban et négocié par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
«Les contacts avec la France se déroulent par le biais du premier ministre Rafic Hariri», a encore affirmé cheikh Nasrallah,.
Le Hezbollah, a-t-il poursuivi, «souhaite que la France soit le garant d’un tel échange car une caution internationale donnerait plus de forces à un accord négocié par le CICR».
Le principe d’un échange de prisonniers libanais détenus dans les centres de détention israéliens au Liban et en Israël a été selon lui adopté et «nous négocions aujourd’hui le nombre de détenus à élargir avant de dresser la liste des noms et de fixer les modalités d’échange». «L’accord ne prendra pas beaucoup de temps», a-t-il affirmé, avant de préciser que «les restes (des Israéliens) étaient conservés dans un congélateur».
Il a enfin révélé qu’«Israël a torpillé, à l’initiative des Etats-Unis, une tentative de médiation russe».
Selon un diplomate occidental à Beyrouth, «le Hezbollah a refusé une médiation de l’Allemagne comme en 1996 lors d’un échange entre le Hezbollah et Israël».
Le Hezbollah, qui détient une partie des restes de certains des 12 soldats tués le 5 septembre au Liban-Sud réclame notamment la libération de deux dirigeants intégristes: cheikh Abdel Karim Obeid, enlevé par un commando israélien en 1986 au Liban-Sud, et Moustapha Dirani, kidnappé dans des conditions similaires en 1994 dans la Békaa.
Dans une interview télévisée diffusée dans la nuit de mardi à mercredi, cheikh Nasrallah a précisé que «Paris garantira un échange de détenus libanais et de corps de combattants anti-israéliens contre les restes de soldats israéliens tués en septembre au Liban et négocié par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
«Les contacts avec la France se déroulent par le biais du premier ministre Rafic Hariri», a encore affirmé cheikh Nasrallah,.
Le Hezbollah, a-t-il poursuivi, «souhaite que la France soit le garant d’un tel échange car une caution internationale donnerait plus de forces à un accord négocié par le CICR».
Le principe d’un échange de prisonniers libanais détenus dans les centres de détention israéliens au Liban et en Israël a été selon lui adopté et «nous négocions aujourd’hui le nombre de détenus à élargir avant de dresser la liste des noms et de fixer les modalités d’échange». «L’accord ne prendra pas beaucoup de temps», a-t-il affirmé, avant de préciser que «les restes (des Israéliens) étaient conservés dans un congélateur».
Il a enfin révélé qu’«Israël a torpillé, à l’initiative des Etats-Unis, une tentative de médiation russe».
Selon un diplomate occidental à Beyrouth, «le Hezbollah a refusé une médiation de l’Allemagne comme en 1996 lors d’un échange entre le Hezbollah et Israël».
Le Hezbollah, qui détient une partie des restes de certains des 12 soldats tués le 5 septembre au Liban-Sud réclame notamment la libération de deux dirigeants intégristes: cheikh Abdel Karim Obeid, enlevé par un commando israélien en 1986 au Liban-Sud, et Moustapha Dirani, kidnappé dans des conditions similaires en 1994 dans la Békaa.
La France sera le garant d’un échange de prisonniers et de corps de résistants libanais anti-israéliens contre des dépouilles de soldats israéliens, a annoncé le secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah.Dans une interview télévisée diffusée dans la nuit de mardi à mercredi, cheikh Nasrallah a précisé que «Paris garantira un échange de détenus...
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