Une nouvelle tour sera érigée à Paris, cent ans après la Tour Eiffel, monument-fétiche de la capitale française, pour marquer l’entrée dans le nouveau millénaire.
Cette «Tour de la Terre» en bois, haute de 200 mètres, devrait être le grand œuvre des célébrations de l’an 2000 à Paris où 120 manifestations sont prévues, selon le maire de la capitale Jean Tiberi, qui a présenté le programme mardi.
Implanté dans les nouveaux quartiers de l’est de la capitale, l’édifice a été imaginé par les architectes Normier, Hennin, Lelièvre (auteurs notamment de l’espace de l’Europe à l’exposition de Séville), qui veulent en faire le symbole du «droit de vivre dans la dignité sur une terre préservée».
La construction de cette structure aérienne, s’élevant sur huit piliers de pin sylvestre et dominée par une «fleur» de cinq pétales métalliques de 700 m2 chacun, doit coûter 250 millions de F (42 millions de dollars).
Jean Tiberi a voulu placer les célébrations sous le signe des «lumières»: «Si en 1990, Paris fut consacrée comme la Ville Lumière, elle sera pour le passage du millénaire la capitale des Lumières», a-t-il déclaré.
De nouvelles illuminations de façades seront ainsi réalisées, notamment le long de la Seine, qui doit devenir un «ruban lumineux», et la cathédrale Notre-Dame sera éclairée de l’intérieur pour sublimer ses vitraux, de même que les grandes verrières des gares.
Une «horloge lumineuse» sera installée au sommet de l’Arc de triomphe de l’Etoile, où convergent précisément douze avenues: trois rayons lasers figureront les aiguilles des heures, minutes, secondes et se déplaceront dans le ciel de Paris de 18h à 24h.
Les heures seront par ailleurs égrenées pendant l’été 2.000 par l’obélisque de la Concorde qui deviendra la pointe d’un cadran solaire, ainsi qu’un sablier géant (24m de haut, 36m de circonférence) qui écoulera, à partir de l’éclipse solaire du 11 avril 1999, une année d’un sable très fin venu de la forêt de Fontainebleau, au sud de Paris. Il en faudra 100 tonnes pour «tenir» un an.
C’est la «symphonie funèbre et triomphale» de Hector Berlioz, qui la dirigea lui-même en uniforme à Paris il y a 160 ans, qui sonnera la fin du deuxième millénaire dans la capitale française. (AFP)
Cette «Tour de la Terre» en bois, haute de 200 mètres, devrait être le grand œuvre des célébrations de l’an 2000 à Paris où 120 manifestations sont prévues, selon le maire de la capitale Jean Tiberi, qui a présenté le programme mardi.
Implanté dans les nouveaux quartiers de l’est de la capitale, l’édifice a été imaginé par les architectes Normier, Hennin, Lelièvre (auteurs notamment de l’espace de l’Europe à l’exposition de Séville), qui veulent en faire le symbole du «droit de vivre dans la dignité sur une terre préservée».
La construction de cette structure aérienne, s’élevant sur huit piliers de pin sylvestre et dominée par une «fleur» de cinq pétales métalliques de 700 m2 chacun, doit coûter 250 millions de F (42 millions de dollars).
Jean Tiberi a voulu placer les célébrations sous le signe des «lumières»: «Si en 1990, Paris fut consacrée comme la Ville Lumière, elle sera pour le passage du millénaire la capitale des Lumières», a-t-il déclaré.
De nouvelles illuminations de façades seront ainsi réalisées, notamment le long de la Seine, qui doit devenir un «ruban lumineux», et la cathédrale Notre-Dame sera éclairée de l’intérieur pour sublimer ses vitraux, de même que les grandes verrières des gares.
Une «horloge lumineuse» sera installée au sommet de l’Arc de triomphe de l’Etoile, où convergent précisément douze avenues: trois rayons lasers figureront les aiguilles des heures, minutes, secondes et se déplaceront dans le ciel de Paris de 18h à 24h.
Les heures seront par ailleurs égrenées pendant l’été 2.000 par l’obélisque de la Concorde qui deviendra la pointe d’un cadran solaire, ainsi qu’un sablier géant (24m de haut, 36m de circonférence) qui écoulera, à partir de l’éclipse solaire du 11 avril 1999, une année d’un sable très fin venu de la forêt de Fontainebleau, au sud de Paris. Il en faudra 100 tonnes pour «tenir» un an.
C’est la «symphonie funèbre et triomphale» de Hector Berlioz, qui la dirigea lui-même en uniforme à Paris il y a 160 ans, qui sonnera la fin du deuxième millénaire dans la capitale française. (AFP)
Une nouvelle tour sera érigée à Paris, cent ans après la Tour Eiffel, monument-fétiche de la capitale française, pour marquer l’entrée dans le nouveau millénaire.Cette «Tour de la Terre» en bois, haute de 200 mètres, devrait être le grand œuvre des célébrations de l’an 2000 à Paris où 120 manifestations sont prévues, selon le maire de la capitale Jean Tiberi, qui...
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