A l’issue de la rencontre, M. Eromobar a affirmé qu’il «existe au Nigeria plus de 130 publications quotidiennes et hebdomadaires». «Seulement trois ou quatre appartiennent au gouvernement tandis que toutes les autres sont des publications de l’opposition, mais elles bénéficient toutes de la liberté d’expression», a-t-il noté. Le chargé d’affaires nigérian a proposé «une coopération et un pacte d’amitié entre les journalistes du Nigeria et le syndicat des journalistes libanais».
M. Karam a pour sa part déclaré que «des relations solides existent déjà entre les deux pays, surtout que beaucoup de Libanais travaillent au Nigeria».
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