Rechercher
Rechercher

Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Précisions du Mohafez de Beyrouth sur l'effondrement de terrain à la rue Trabaud

A la suite de l’information intitulée «Mohafez fantôme et trou béant» parue dans notre édition d’hier (et se rapportant aux risques provoqués par un effondrement de terrain à la rue Trabaud, à Achrafieh), le mohafez de Beyrouth, M. Nicolas Saba, nous communique la mise au point suivante:
«Le titre de l’information «Mohafez fantôme et trou béant» a été rédigé avec beaucoup d’agressivité qui est d’autant plus injustifiée que l’effondrement en question ne présente aucun danger. De fait, la société EDRAFOR qui a exécuté les pieux le long de la paroi séparant les deux propriétés en question (dont celle du Métropolitan Club) est l’une des quatre sociétés spécialisées dans ce genre de travaux. De plus, l’étude des pieux a été approuvée par le bureau de contrôle technique APAVE qui est l’un des bureaux techniques les plus sérieux au Liban. La supervision technique permanente du projet est assurée par la société anglaise DG Jones & Partners».
Et M. Saba de poursuivre: «Dès l’apparition d’un trou dans la paroi par lequel de la terre s’est échappée, suite aux pluies diluviennes du mardi 9 décembre, le Métropolitan Club a convoqué immédiatement tous les techniciens concernés, et le trou a été colmaté dès les premières heures du mercredi 10 décembre. Aucune fuite n’a été constatée depuis. L’auteur de l’information parue dans «L’Orient-Le Jour» a pris le mohafez de Beyrouth comme bouc émissaire, ce qui est injustifié, d’autant que mon souci de l’intérêt public ne saurait être remis en cause».
«Plusieurs réalisations ont été faites depuis que j’ai pris en charge mes fonctions, a poursuivi M. Saba, dont notamment le réaménagement de la place Sassine et de la rue Mar Elias, à Mousseitbé, l’éclairage de la ville en un temps record, l’arrêt de tous les chantiers en infraction (installation de cloisons, nettoyage et sécurité autour des chantiers), création de parkings dans les terrains vagues, retrait des fils électriques et téléphoniques, retrait des voitures délabrées, installation de signalisation routière, aménagement des jardins publics, organisation de l’affichage public, retrait de toutes les banderoles et affiches sur les murs de la ville, embellissement des façades des immeubles, modernisation des sapeurs- pompiers, achat de camions frigorifiques pour le transport de la viande, diminution de la routine administrative, informatisation du service financier et urbanistique, encouragement des investissements touristiques (hôtels et restaurants), relance des activités culturelles (Musée Sursock et Musée national) et sociales (écoles, asiles...)».
Et M. Saba de conclure: «De nombreux projets n’ont pas encore été exécutés en raison de la lourdeur administrative, indépendante de mes prérogatives. A la lumière de ce dynamisme et de mon souci pour l’intérêt public, il serait ingrat de me traiter de mohafez fantôme».
A la suite de l’information intitulée «Mohafez fantôme et trou béant» parue dans notre édition d’hier (et se rapportant aux risques provoqués par un effondrement de terrain à la rue Trabaud, à Achrafieh), le mohafez de Beyrouth, M. Nicolas Saba, nous communique la mise au point suivante:«Le titre de l’information «Mohafez fantôme et trou béant» a été rédigé...