Ami Popper avait demandé au tribunal de confondre ses sept peines en une seule, de façon à ce qu’il puisse bénéficier d’une amnistie générale qui pourrait, éventuellement, être décrétée l’an prochain pour le 50e anniversaire de la création de l’Etat d’Israël.
L’avocat de la défense a affirmé qu’il préparerait un nouveau pourvoi, demandant cette fois une réduction de la peine au motif que la santé mentale de son client se détériorait en prison.
M. Popper a tué à l’arme automatique sept travailleurs palestiniens employés en Israël en mai 1990, près de Tel-Aviv. Il a affirmé qu’il avait voulu se venger d’agressions sexuelles qui auraient été commises contre lui par un Arabe lorsqu’il était enfant.
M. Popper, qui est devenu ultra-orthodoxe pendant sa détention, avait bénéficié en octobre dernier d’une permission de sortie de douze heures, la première depuis son emprisonnement. L’administration pénitentiaire prévoit désormais de lui accorder des permissions régulières. (AFP)
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes