Au cours d’une conférence au siège de la Fondation Issam Farès, du nom du député du Akkar, M. Peressypkine a précisé que le ministère des Affaires étrangères de son pays avait décidé de collaborer avec cette fondation pour rendre publics ces documents consulaires, à compter de l’année 1839.
L’ambassadeur a indiqué que cette décision avait été prise à la suite de la visite récente de M. Farès en Russie.
Du fait de la situation particulière d’une partie du Liban actuel sous l’Empire ottoman, les consulats des grandes puissances européennes établis à Beyrouth ont joué un rôle très important dans les événements que le pays a connus au siècle précédent.
M. Peressypkine a par ailleurs souligné l’attachement de son pays à une coopération avec le Liban dans tous les domaines.
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