Facile le pensum aujourd’hui. N’y a qu’à, comme dit l’imprécateur, recopier un p’tit passage du «Tailleur de Panama». C’est Marta en ligne, m’sieu le président:
— «Non, il n’y a pas d’opposition silencieuse. Il y a le profit. Il y a le pouvoir. Il y a les riches d’un côté et les désespérés de l’autre. Il y a les apathiques… Il y a des gens si pauvres que s’ils s’appauvrissent encore, ils meurent. Il y a la politique. Et la politique, c’est la plus belle escroquerie de toutes… L’avenir du Panama se décide entre 30 personnes. Les 2 millions et demi restants ne peuvent qu’échafauder des hypothèses».
On vous épargne la suite, Le Carré y évoque l’ivresse du superfric tournoyant dans le chaos.
Et ça mon bon on n’en parle pas, on n’en parle plus, quand on est soi-même K.O.
J.I.
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