Une source de l’ALS a confirmé qu’une de ses positions à Ali Taher, dans le secteur central de la zone, avait été attaquée aux mortiers sans que cette attaque fasse des victimes.
Le PSNS, a ajouté qu’il mènerait «d’autres opérations contre l’occupation israélienne (...) après avoir observé un temps d’arrêt».
Ce parti avait mené avant 1990 plusieurs actions, notamment des opérations-suicides contre l’armée israélienne, alors qu’il appartenait au Front de la résistance nationale, un regroupement de partis laïcs. Ces partis, principalement de gauche, avaient été par la suite relayés dans leur action anti-israélienne par le Hezbollah.
Depuis 1990, toutes les formations paramilitaires libanaises sont en principe dissoutes et ont remis leurs armes à l’Etat libanais, à l’exception du Hezbollah et le mouvement Amal.
Or le Hezbollah a annoncé le 3 novembre, après une visite en Iran, qu’il donnerait l’opportunité aux Libanais de différentes religions et orientations politiques de participer aux actions armées contre Israël afin que la résistance ne soit pas monopolisée par les chiites.
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