Le représentant de l’association Greenpeace au Liban, M. Fouad Hamdan, s’est félicité hier de la fermeture vendredi dernier de l’incinérateur de La Quarantaine.
Cette fermeture a en fait été officieusement annoncée hier par l’Association Greenpeace qui a rappelé que l’incinérateur était le dernier encore en fonctionnement dans le pays. Source de pollution, il avait été réhabilité au cours de l’hiver dernier et les travaux avaient coûté quelque sept millions de dollars qui auront donc été gaspillés pour rien, a souligné Greenpeace qui a précisé avoir mené campagne contre les incinérateurs depuis juillet 96.
Rappelant que le Liban produit quelque 1700 tonnes d’ordures ménagères par jour actuellement réparties entre Amroussieh et La Quarantaine et dont 50% sont compostées, 10% recyclées et le reste stockées à Naamé en attendant d’y être ensuite ensevelies, Greenpeace s’est déclaré préoccupée par les déchets toxiques qui ne peuvent être stockés plus de six mois et qui vont inéluctablement polluer les réserves souterraines d’eau.
A ce propos, Greenpeace a appelé les responsables du Conseil du développement et de la reconstruction et du ministère de l’Environnement à séparer les déchets toxiques et, dans une première étape, à les stocker convenablement en attendant d’être ensuite en mesure, dans une deuxième étape, de mettre un terme à la production de déchets toxiques.
Car la question qui se pose actuellement au lendemain de la fermeture de l’incinérateur de La Quanrantaine est de savoir ce qu’il va advenir des 650 tonnes de déchets produits chaque jour par les 140 hôpitaux du pays, a poursuivi Greenpeace.
Soulignant que les hôpitaux situés hors de la capitale brûlent leurs déchets dans des dépotoirs publics et polluent ainsi l’atmosphère, Greenpeace a émis des craintes quant à la possibilité que les grands hôpitaux de la capitale comme l’hôpital de l’Université américaine de Beyrouth et l’Hôtel Dieu remettent en fonctionnement leurs propres incinérateurs, petits mais très polluants.
Greenpeace a conclu en invitant le CDR et le ministère de l’Environnement à faire pression sur les hôpitaux afin qu’ils règlent de façon radicale et définitive le problème posé par les déchets qu’ils produisent.
Cette fermeture a en fait été officieusement annoncée hier par l’Association Greenpeace qui a rappelé que l’incinérateur était le dernier encore en fonctionnement dans le pays. Source de pollution, il avait été réhabilité au cours de l’hiver dernier et les travaux avaient coûté quelque sept millions de dollars qui auront donc été gaspillés pour rien, a souligné Greenpeace qui a précisé avoir mené campagne contre les incinérateurs depuis juillet 96.
Rappelant que le Liban produit quelque 1700 tonnes d’ordures ménagères par jour actuellement réparties entre Amroussieh et La Quarantaine et dont 50% sont compostées, 10% recyclées et le reste stockées à Naamé en attendant d’y être ensuite ensevelies, Greenpeace s’est déclaré préoccupée par les déchets toxiques qui ne peuvent être stockés plus de six mois et qui vont inéluctablement polluer les réserves souterraines d’eau.
A ce propos, Greenpeace a appelé les responsables du Conseil du développement et de la reconstruction et du ministère de l’Environnement à séparer les déchets toxiques et, dans une première étape, à les stocker convenablement en attendant d’être ensuite en mesure, dans une deuxième étape, de mettre un terme à la production de déchets toxiques.
Car la question qui se pose actuellement au lendemain de la fermeture de l’incinérateur de La Quanrantaine est de savoir ce qu’il va advenir des 650 tonnes de déchets produits chaque jour par les 140 hôpitaux du pays, a poursuivi Greenpeace.
Soulignant que les hôpitaux situés hors de la capitale brûlent leurs déchets dans des dépotoirs publics et polluent ainsi l’atmosphère, Greenpeace a émis des craintes quant à la possibilité que les grands hôpitaux de la capitale comme l’hôpital de l’Université américaine de Beyrouth et l’Hôtel Dieu remettent en fonctionnement leurs propres incinérateurs, petits mais très polluants.
Greenpeace a conclu en invitant le CDR et le ministère de l’Environnement à faire pression sur les hôpitaux afin qu’ils règlent de façon radicale et définitive le problème posé par les déchets qu’ils produisent.
Le représentant de l’association Greenpeace au Liban, M. Fouad Hamdan, s’est félicité hier de la fermeture vendredi dernier de l’incinérateur de La Quarantaine.Cette fermeture a en fait été officieusement annoncée hier par l’Association Greenpeace qui a rappelé que l’incinérateur était le dernier encore en fonctionnement dans le pays. Source de pollution, il avait...
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