L’organisation écologique Greenpeace a clôturé hier sa campagne de prélèvement d’échantillons d’eau et de terre dans les zones industrielles fortement polluées entamée il y a dix jours.
\Les équipes de Greenpeace se sont rendues près d’une usine dans la localité de Ghaziyé au sud de la ville de Saïda pour y prélever des échantillons. L’usine est accusée de se débarrasser de ses déchets en les déversant directement dans la mer. L ’équipe était composée de Mme Angela Stephenson, une chimiste du laboratoire international de Greenpeace à l’Université d’Exeter en Grande-Bretagne, de M. Moustapha Ghaddar, responsable d’une association écologique à Ghaziyé et de M. Mohammed Sarriji également membre d’un groupe de défense de l’environnement.
Dans un communiqué publié hier, Greenpeace précise que 110 échantillons ont été prélevés sur le littoral ou à l’intérieur du pays lors de cette campagne. Ils seront analysés à l’Université d’Exeter à Londres.
Le but de cette campagne est de définir avec précision les zones polluées, les matières nocives produites par les usines et de mesurer le taux de pollution.
Pendant quatre jours, un canot pneumatique de l’organisation écologique a prélevé des échantillons en différents points entre Tripoli et Tyr. Des équipes se sont également rendues à Choueifat, Zahlé, la plaine de la Békaa, Bauchrié, Nahr el-Mott, Zouk, Mazraet Yachouh, et ont également inspecté les cours d’eau de Bardaouni, Ghadir, Litani, Nahr Ibrahim et le lac de Karaoun.
Dans une déclaration à la presse, le coordinateur de Greenpeace en Méditerranée, M. Fouad Hamdane, a indiqué que 16 associations écologiques libanaises ont contribué à la campagne de prélèvement d’échantillons. L’industrie libanaise produit tous les ans 326000 tonnes de déchets et une quantité indéterminée de déchets nocifs.
\Les équipes de Greenpeace se sont rendues près d’une usine dans la localité de Ghaziyé au sud de la ville de Saïda pour y prélever des échantillons. L’usine est accusée de se débarrasser de ses déchets en les déversant directement dans la mer. L ’équipe était composée de Mme Angela Stephenson, une chimiste du laboratoire international de Greenpeace à l’Université d’Exeter en Grande-Bretagne, de M. Moustapha Ghaddar, responsable d’une association écologique à Ghaziyé et de M. Mohammed Sarriji également membre d’un groupe de défense de l’environnement.
Dans un communiqué publié hier, Greenpeace précise que 110 échantillons ont été prélevés sur le littoral ou à l’intérieur du pays lors de cette campagne. Ils seront analysés à l’Université d’Exeter à Londres.
Le but de cette campagne est de définir avec précision les zones polluées, les matières nocives produites par les usines et de mesurer le taux de pollution.
Pendant quatre jours, un canot pneumatique de l’organisation écologique a prélevé des échantillons en différents points entre Tripoli et Tyr. Des équipes se sont également rendues à Choueifat, Zahlé, la plaine de la Békaa, Bauchrié, Nahr el-Mott, Zouk, Mazraet Yachouh, et ont également inspecté les cours d’eau de Bardaouni, Ghadir, Litani, Nahr Ibrahim et le lac de Karaoun.
Dans une déclaration à la presse, le coordinateur de Greenpeace en Méditerranée, M. Fouad Hamdane, a indiqué que 16 associations écologiques libanaises ont contribué à la campagne de prélèvement d’échantillons. L’industrie libanaise produit tous les ans 326000 tonnes de déchets et une quantité indéterminée de déchets nocifs.
L’organisation écologique Greenpeace a clôturé hier sa campagne de prélèvement d’échantillons d’eau et de terre dans les zones industrielles fortement polluées entamée il y a dix jours.\Les équipes de Greenpeace se sont rendues près d’une usine dans la localité de Ghaziyé au sud de la ville de Saïda pour y prélever des échantillons. L’usine est accusée de se...
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