«Le mur ne cache pas le spectacle de la mer pour deux raisons: il n’est pas assez haut, et la mer n’est en tout cas pas visible de ce côté-là», précise une source autorisée du comité de l’ATCL.
«Le mur n’a qu’un mètre de haut et il est formé de piliers séparés les uns des autres, poursuit la même source. Il assure simplement plus d’intimité aux membres du club qui ont souvent été les victimes d’interventions peu désirables de la part de gêneurs. D’ailleurs, il ne s’étend que sur une partie de l’avenue Fouad Chéhab, et non sur sa totalité».
Quant aux revendications d’entrée libre à l’ATCL avancées par la délégation, elles sont jugées déplacées par le comité. «L’ATCL a été conçu comme un club privé et a obtenu un permis de club privé bien que le terrain appartienne à l’Etat», explique la source susmentionnée. «Sa construction a été financée par des entreprises privées et par les membres, non à l’aide de fonds publics», précise la même source.
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