«Nous œuvrerons au sein de l’Assemblée nationale en vue de rendre plus sévères les condamnations de ceux qui se rendent coupables de crimes contre l’enfance».
C’est ce qu’a affirmé hier la présidence de la sous-commission parlementaire des droits de l’enfant, Mme Nayla Moawad. Le député commentait le crime dont a été victime il y a quelques jours un petit enfant de deux ans et demi au Liban-Nord.
«C’est comme si nous vivions encore à l’ombre de la loi de la jungle», a dit Mme Moawad qui a estimé que «l’enfance est devenue la victime de la corruption et des perversions sexuelles».
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