Les avions de la Bundeswehr vont être dotés d’un système d’alerte anticollision, a annoncé le ministre allemand de la Défense Volker Ruehe dans un entretien publié mercredi par le quotidien Bild.
«L’armée de l’air a équipé ses cinq Airbus d’un système d’alerte anticollision, bien que cela ne soit pas obligatoire, et l’équipement des avions Challenger va commencer», a déclaré M. Ruehe.
Une telle modification était également prévue pour le Tupolev TU-154 de la Bundeswehr accidenté samedi, avec 24 personnes à bord, au large des côtes de la Namibie et de l’Angola, a-t-il précisé, «mais trop tard».
L’Union allemande des pilotes, Cockpit, avait réclamé mardi un équipement des appareils survolant l’Afrique, expliquant que les pilotes ne devaient souvent compter que sur eux-mêmes et sur leur fréquence radio quand ils volaient dans l’espace aérien africain, «de plus en plus réduit et dangereux».
Le choix d’un itinéraire survolant la mer n’a aucun rapport avec le prix élevé des taxes à acquitter pour un survol du territoire africain, a encore déclaré M. Ruehe, interrogé par Bild à ce sujet.
Selon le journal, ces droits peuvent s’élever jusqu’à 15.000 marks (8.300 dollars) pour un voyage.
L’itinéraire marin a été choisi «parce que c’est une route tout à fait classique et plus sûre que le survol du territoire, cela n’a rien à voir avec les taxes», a assuré M. Ruehe. (AFP)
«L’armée de l’air a équipé ses cinq Airbus d’un système d’alerte anticollision, bien que cela ne soit pas obligatoire, et l’équipement des avions Challenger va commencer», a déclaré M. Ruehe.
Une telle modification était également prévue pour le Tupolev TU-154 de la Bundeswehr accidenté samedi, avec 24 personnes à bord, au large des côtes de la Namibie et de l’Angola, a-t-il précisé, «mais trop tard».
L’Union allemande des pilotes, Cockpit, avait réclamé mardi un équipement des appareils survolant l’Afrique, expliquant que les pilotes ne devaient souvent compter que sur eux-mêmes et sur leur fréquence radio quand ils volaient dans l’espace aérien africain, «de plus en plus réduit et dangereux».
Le choix d’un itinéraire survolant la mer n’a aucun rapport avec le prix élevé des taxes à acquitter pour un survol du territoire africain, a encore déclaré M. Ruehe, interrogé par Bild à ce sujet.
Selon le journal, ces droits peuvent s’élever jusqu’à 15.000 marks (8.300 dollars) pour un voyage.
L’itinéraire marin a été choisi «parce que c’est une route tout à fait classique et plus sûre que le survol du territoire, cela n’a rien à voir avec les taxes», a assuré M. Ruehe. (AFP)
Les avions de la Bundeswehr vont être dotés d’un système d’alerte anticollision, a annoncé le ministre allemand de la Défense Volker Ruehe dans un entretien publié mercredi par le quotidien Bild.«L’armée de l’air a équipé ses cinq Airbus d’un système d’alerte anticollision, bien que cela ne soit pas obligatoire, et l’équipement des avions Challenger va...
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