La Syrie a réaffirmé jeudi, à la veille de l’arrivée à Damas du secrétaire d’état américain Madeleine Albright, que les négociations avec Israël devaient reprendre «au point où elles s’étaient arrêtées à Washington».
«Il y a des chances de reprendre le processus de paix avec succès, si les négociations (syro-israéliennes) reprennent au point où elles s’étaient arrêtées avant qu’Israël ne les gèle en février 1996», a souligné le commentateur politique de la radio officielle syrienne.
Les responsables syriens ont affirmé à maintes reprises être parvenus à un accord tacite avec l’ancien premier ministre israélien Yitzhak Rabin, aux termes duquel Israël se retirerait du Golan occupé depuis juin 1967, en échange d’une paix totale avec la Syrie.
Le gouvernement israélien et son premier ministre Benjamin Netanyahu «sont ressentis comme un danger non seulement par les Arabes, mais également par les Israéliens et leurs responsables, militaires ou civils, sans compter l’opposition israélienne», a poursuivi Radio-Damas.
Le président israélien Ezer Weizman et Mme Léa Rabin, épouse de l’ancien premier ministre israélien assassiné, ont critiqué M. Netanyahu, estimant qu’il ne voulait pas la paix.
«Ce nouveau développement doit permettre au secrétaire d’Etat américain de trouver un moyen de faire revivre le processus de paix et de le remettre sur la bonne voie, qui est le principe de l’échange de la terre contre la paix», selon la radio.
Mme Albright est attendue aujourd’hui vendredi à Damas, où elle doit être reçue par le président syrien Hafez el-Assad.
«Il y a des chances de reprendre le processus de paix avec succès, si les négociations (syro-israéliennes) reprennent au point où elles s’étaient arrêtées avant qu’Israël ne les gèle en février 1996», a souligné le commentateur politique de la radio officielle syrienne.
Les responsables syriens ont affirmé à maintes reprises être parvenus à un accord tacite avec l’ancien premier ministre israélien Yitzhak Rabin, aux termes duquel Israël se retirerait du Golan occupé depuis juin 1967, en échange d’une paix totale avec la Syrie.
Le gouvernement israélien et son premier ministre Benjamin Netanyahu «sont ressentis comme un danger non seulement par les Arabes, mais également par les Israéliens et leurs responsables, militaires ou civils, sans compter l’opposition israélienne», a poursuivi Radio-Damas.
Le président israélien Ezer Weizman et Mme Léa Rabin, épouse de l’ancien premier ministre israélien assassiné, ont critiqué M. Netanyahu, estimant qu’il ne voulait pas la paix.
«Ce nouveau développement doit permettre au secrétaire d’Etat américain de trouver un moyen de faire revivre le processus de paix et de le remettre sur la bonne voie, qui est le principe de l’échange de la terre contre la paix», selon la radio.
Mme Albright est attendue aujourd’hui vendredi à Damas, où elle doit être reçue par le président syrien Hafez el-Assad.
La Syrie a réaffirmé jeudi, à la veille de l’arrivée à Damas du secrétaire d’état américain Madeleine Albright, que les négociations avec Israël devaient reprendre «au point où elles s’étaient arrêtées à Washington».«Il y a des chances de reprendre le processus de paix avec succès, si les négociations (syro-israéliennes) reprennent au point où elles...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes