«Notre gouvernement est conscient de ses responsabilités et il n’est plus besoin maintenant d’organisations spéciales comme le Groupe d’études occidentales», a déclaré M. Yilmaz à la presse mercredi, durant sa visite au Kazakhstan, selon l’agence turque Anatolie.
Le Groupe d’études occidentales a été formé au sein de l’armée au début de l’année, alors que l’ancien premier ministre islamiste Necmettin Erbakan était au pouvoir, pour
«Il existe toujours une occasion pour sauver le processus de paix en surmontant les obstacles que pose Israël, et cela ne sera possible que par un rôle américain efficace et sincère (...), notamment par des pressions sur Israël afin de l’amener à respecter les fondements de la paix», ajoute «As-Saoura».
Selon un diplomate occidental à Damas, la visite en Syrie de Mme Albright «reflète l’importance qu’accordent le président américain Bill Clinton et le secrétaire d’Etat à la nécessité de reprendre les négociations sur le volet syrien».
Parlant sous couvert de l’anonymat, ce diplomate a toutefois indiqué que les entretiens du secrétaire d’Etat américain dans la capitale syrienne «revêtiront plutôt un caractère exploratoire après 18 mois de suspension des négociations».
«La région ne connaîtra ni paix ni sécurité sans respect des fondements du processus de paix» lancé en 1991 à Madrid sur la base du principe de l’échange de «la terre contre la paix», rappelait cette semaine le quotidien «Al-Baas».
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