Evoquant les revendications du syndicat de ses employés et ouvriers, qui ont entamé une grève ouverte, la Société des ciments libanais a fait paraître hier un communiqué dans lequel elle a estimé que «le recours à la grève dans les circonstances présentes est injustifiable et aura des retombées négatives sur les activités de la société», invitant les employés et les ouvriers à ne pas entraver «la marche de celle-ci vers le progrès et la prospérité».
Le communiqué a ensuite rappelé les nombreuses réunions tenues par la direction de la société avec les représentants du syndicat, au cours desquelles celle-ci a fait état des circonstances délicates que traversent les Ciments libanais en raison de la mise en exécution d’un projet de modernisation de ses usines et de développement de son rendement pour assurer la continuité du travail, ainsi que l’avenir des employés et ouvriers.
Le financement de ce projet, a ajouté le communiqué, a requis un montant de près de 170 millions de dollars U.S. dont la plus grande partie (soit près de 125 millions de dollars) a été obtenue par le recours à un emprunt auprès d’un groupe de banques et d’institutions financières libanaises et étrangères qui ont imposé une série de contraintes et d’engagements qu’il ne serait pas possible d’outrepasser sous peine de devoir faire face à une échéance simultanée de toutes les dettes à la fois, ce qui exposera la société à une menace sérieuse de faillite.
La direction, a encore souligné le communiqué, a manifesté sa disposition à examiner ces revendications, une fois achevé le projet du 7e fourneau et la production entamée, et cela dans l’intérêt des employés et des ouvriers, ainsi que de la prospérité de la société.
Le communiqué a souligné, en outre, que les revendications, dans leur ensemble, ne revêtent pas un caractère d’urgence et que l’on peut y sursoir, d’autant plus que le délai qui sépare l’achèvement des travaux du 7e fourneau du début de la production n’est pas long.
Le communiqué a ensuite rappelé les nombreuses réunions tenues par la direction de la société avec les représentants du syndicat, au cours desquelles celle-ci a fait état des circonstances délicates que traversent les Ciments libanais en raison de la mise en exécution d’un projet de modernisation de ses usines et de développement de son rendement pour assurer la continuité du travail, ainsi que l’avenir des employés et ouvriers.
Le financement de ce projet, a ajouté le communiqué, a requis un montant de près de 170 millions de dollars U.S. dont la plus grande partie (soit près de 125 millions de dollars) a été obtenue par le recours à un emprunt auprès d’un groupe de banques et d’institutions financières libanaises et étrangères qui ont imposé une série de contraintes et d’engagements qu’il ne serait pas possible d’outrepasser sous peine de devoir faire face à une échéance simultanée de toutes les dettes à la fois, ce qui exposera la société à une menace sérieuse de faillite.
La direction, a encore souligné le communiqué, a manifesté sa disposition à examiner ces revendications, une fois achevé le projet du 7e fourneau et la production entamée, et cela dans l’intérêt des employés et des ouvriers, ainsi que de la prospérité de la société.
Le communiqué a souligné, en outre, que les revendications, dans leur ensemble, ne revêtent pas un caractère d’urgence et que l’on peut y sursoir, d’autant plus que le délai qui sépare l’achèvement des travaux du 7e fourneau du début de la production n’est pas long.
Evoquant les revendications du syndicat de ses employés et ouvriers, qui ont entamé une grève ouverte, la Société des ciments libanais a fait paraître hier un communiqué dans lequel elle a estimé que «le recours à la grève dans les circonstances présentes est injustifiable et aura des retombées négatives sur les activités de la société», invitant les employés et les...
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