Une quantité indéterminée de barils contenant une matière puante et visqueuse a été trouvée à proximité du dépotoir du Nahr Abou Ali à Tripoli. La découverte a semé l’émoi parmi les habitants de la région qui sont persuadés que ces barils sont toxiques. L’origine des barils n’a pas pu être définie mais il est certain que leur présence dans la région est toute récente. Une matière de couleur noire suinte à travers certains barils. Trois fûts de matières toxiques avaient été découverts il y a trois ans dans la même région.
Selon l’agence Al-Markazia, un bulldozer a été aperçu transportant dans la nuit de dimanche à lundi seize de ces barils vers une destination inconnue sans qu’aucune analyse n’ait été effectuée sur la matière contenue dans les fûts.
De son côté, le député Abdel-Rahman Abdel-Rahman, qui s’est rendu sur les lieux, a appelé les responsables à se saisir sans plus tarder de ce dossier qui risque d’avoir de graves conséquences sur la santé publique avant de mettre l’accent sur la nécessité de rendre publiques les conclusions de toute éventuelle enquête sur la question.
De son côté, le porte-parole de l’organisation écologique Greenpeace, M. Fouad Hamdane, a déclaré que ce n’était pas la première fois que des fûts suspects sont découverts dans ce lieu. Il a cependant exclu que ces barils appartiennent au lot de barils toxiques italiens.
Il a supposé que les fûts pourraient contenir des déchets industriels, le Liban produisant près de 326 mille tonnes de déchets industriels annuellement dont certains sont dangereux.
M. Hamdane a appelé le ministère de l’Environnement et le Conseil de développement et de reconstruction à rassembler les déchets industriels toxiques dans des conteneurs en attendant de trouver le moyen adéquat pour les détruire.
Selon l’agence Al-Markazia, un bulldozer a été aperçu transportant dans la nuit de dimanche à lundi seize de ces barils vers une destination inconnue sans qu’aucune analyse n’ait été effectuée sur la matière contenue dans les fûts.
De son côté, le député Abdel-Rahman Abdel-Rahman, qui s’est rendu sur les lieux, a appelé les responsables à se saisir sans plus tarder de ce dossier qui risque d’avoir de graves conséquences sur la santé publique avant de mettre l’accent sur la nécessité de rendre publiques les conclusions de toute éventuelle enquête sur la question.
De son côté, le porte-parole de l’organisation écologique Greenpeace, M. Fouad Hamdane, a déclaré que ce n’était pas la première fois que des fûts suspects sont découverts dans ce lieu. Il a cependant exclu que ces barils appartiennent au lot de barils toxiques italiens.
Il a supposé que les fûts pourraient contenir des déchets industriels, le Liban produisant près de 326 mille tonnes de déchets industriels annuellement dont certains sont dangereux.
M. Hamdane a appelé le ministère de l’Environnement et le Conseil de développement et de reconstruction à rassembler les déchets industriels toxiques dans des conteneurs en attendant de trouver le moyen adéquat pour les détruire.
Une quantité indéterminée de barils contenant une matière puante et visqueuse a été trouvée à proximité du dépotoir du Nahr Abou Ali à Tripoli. La découverte a semé l’émoi parmi les habitants de la région qui sont persuadés que ces barils sont toxiques. L’origine des barils n’a pas pu être définie mais il est certain que leur présence dans la région est toute...
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