Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a affirmé «qu’on ne peut régler les problèmes en les occultant ou en les ignorant mais en y faisant face».
Dans son homélie dominicale, le cardinal Sfeir a souhaité que la vérité soit au centre de notre vie sociale. «Nous voulons que les journaux, les radios et les télévisions reflètent une image réelle de notre situation. Nous rejetons toute vérité artificielle créée de toute pièce. Nous refusons le fait qu’on se joue de notre opinion publique et nous refusons catégoriquement un pouvoir qui compte sur les matraques des policiers. Que la franchise soit notre devise de vie», a-t-il dit.
Et d’ajouter: «On ne peut résoudre les problèmes en les occultant ou en les ignorant».
Mgr Sfeir a par ailleurs conféré avec le député Gebran Tok, M. Fayçal Arslan ainsi qu’avec une délégation du Mouvement de solidarité conduite par M. Emile Rahmé et une autre de l’Association d’amitié libano-ivoirienne.
Coexistence
Mgr Sfeir a mis l’accent sur l’importance de se conformer à la teneur de l’Exhortation apostolique dans notre vie et celle de la nation surtout sur le plan du renouveau de l’esprit.
Samedi, au cours d’une messe solennelle célébrée en l’église Notre-Dame de Qannoubine dans la vallée de Kadisha, qui a servi de siège patriarcal maronite aux XV et XVI siècles, le patriarche maronite a appelé les Libanais à s’attacher à leur patrimoine et à leurs constantes en l’occurrence à la coexistence entre chrétiens et musulmans.
Il a mis en garde contre «le danger de vider notre sol au nom d’une vie plus calme et sereine loin de la patrie».
Mgr Sfeir a appelé les chrétiens à être de vrais chrétiens non seulement par le nom ou l’identité mais surtout par l’action. Il les a exhortés à traduire dans leur vie de chaque jour l’Exhortation apostolique.
Dans son homélie dominicale, le cardinal Sfeir a souhaité que la vérité soit au centre de notre vie sociale. «Nous voulons que les journaux, les radios et les télévisions reflètent une image réelle de notre situation. Nous rejetons toute vérité artificielle créée de toute pièce. Nous refusons le fait qu’on se joue de notre opinion publique et nous refusons catégoriquement un pouvoir qui compte sur les matraques des policiers. Que la franchise soit notre devise de vie», a-t-il dit.
Et d’ajouter: «On ne peut résoudre les problèmes en les occultant ou en les ignorant».
Mgr Sfeir a par ailleurs conféré avec le député Gebran Tok, M. Fayçal Arslan ainsi qu’avec une délégation du Mouvement de solidarité conduite par M. Emile Rahmé et une autre de l’Association d’amitié libano-ivoirienne.
Coexistence
Mgr Sfeir a mis l’accent sur l’importance de se conformer à la teneur de l’Exhortation apostolique dans notre vie et celle de la nation surtout sur le plan du renouveau de l’esprit.
Samedi, au cours d’une messe solennelle célébrée en l’église Notre-Dame de Qannoubine dans la vallée de Kadisha, qui a servi de siège patriarcal maronite aux XV et XVI siècles, le patriarche maronite a appelé les Libanais à s’attacher à leur patrimoine et à leurs constantes en l’occurrence à la coexistence entre chrétiens et musulmans.
Il a mis en garde contre «le danger de vider notre sol au nom d’une vie plus calme et sereine loin de la patrie».
Mgr Sfeir a appelé les chrétiens à être de vrais chrétiens non seulement par le nom ou l’identité mais surtout par l’action. Il les a exhortés à traduire dans leur vie de chaque jour l’Exhortation apostolique.
Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a affirmé «qu’on ne peut régler les problèmes en les occultant ou en les ignorant mais en y faisant face».Dans son homélie dominicale, le cardinal Sfeir a souhaité que la vérité soit au centre de notre vie sociale. «Nous voulons que les journaux, les radios et les télévisions reflètent une image réelle de notre...
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