Nabil Hélou expose, dans le cadre du festival de Jbeil, une dizaine de sculptures alliant fer et pierre.
Dans la descente du vieux port de Jbeil, sur une surface vierge, Hélou a dispersé ses empreintes géantes. Utilisant ses mains et ses pieds pour façonner la matière, l’artiste affirme que ses travaux transcendent le temps et l’espace. «Je laisse mes empreintes. C’est au visiteur de trouver l’interprétation qui le sied».
«Chaque sculpture représente une période millénaire. D’habitude les artistes interdisent aux visiteurs de toucher les œuvres. Moi, j’exige le contraire. Je veux que les passants palpent, jouent avec les tiges de fer colorées, les font balancer...» Rouge, vert, jaune, bleu... les tiges de fer s’enroulent autour des masses en pierre comme des banderoles.
Jusqu’au 25 septembre.
À LA SALLE
DE VERRE
La Salle de verre du ministère du Tourisme-Hamra accueille, jusqu’au 31 août, une cinquantaine d’œuvres de deux artistes de 25 ans, Zahi Andari et Lewaa Danaf.
Huile, encre et graphisme sur ordinateur pour Danaf qui accumule, dans une multitude de couleurs pas toujours harmonieuses, des symboles, des détails et des signes.
Aquarelle, crayon, collage, huile, calligraphie et mixed-média pour Andari, qui accompagne ses œuvres de textes poétiques. La femme, le désir, la douleur, la guerre, l’angoisse… Zahi Andari tente d’exprimer, dans différents styles, un mal-être. Celui d’un jeune qui «se cherche», tant sur le plan individuel que sur le plan professionnel…
Dans la descente du vieux port de Jbeil, sur une surface vierge, Hélou a dispersé ses empreintes géantes. Utilisant ses mains et ses pieds pour façonner la matière, l’artiste affirme que ses travaux transcendent le temps et l’espace. «Je laisse mes empreintes. C’est au visiteur de trouver l’interprétation qui le sied».
«Chaque sculpture représente une période millénaire. D’habitude les artistes interdisent aux visiteurs de toucher les œuvres. Moi, j’exige le contraire. Je veux que les passants palpent, jouent avec les tiges de fer colorées, les font balancer...» Rouge, vert, jaune, bleu... les tiges de fer s’enroulent autour des masses en pierre comme des banderoles.
Jusqu’au 25 septembre.
À LA SALLE
DE VERRE
La Salle de verre du ministère du Tourisme-Hamra accueille, jusqu’au 31 août, une cinquantaine d’œuvres de deux artistes de 25 ans, Zahi Andari et Lewaa Danaf.
Huile, encre et graphisme sur ordinateur pour Danaf qui accumule, dans une multitude de couleurs pas toujours harmonieuses, des symboles, des détails et des signes.
Aquarelle, crayon, collage, huile, calligraphie et mixed-média pour Andari, qui accompagne ses œuvres de textes poétiques. La femme, le désir, la douleur, la guerre, l’angoisse… Zahi Andari tente d’exprimer, dans différents styles, un mal-être. Celui d’un jeune qui «se cherche», tant sur le plan individuel que sur le plan professionnel…
Nabil Hélou expose, dans le cadre du festival de Jbeil, une dizaine de sculptures alliant fer et pierre.Dans la descente du vieux port de Jbeil, sur une surface vierge, Hélou a dispersé ses empreintes géantes. Utilisant ses mains et ses pieds pour façonner la matière, l’artiste affirme que ses travaux transcendent le temps et l’espace. «Je laisse mes empreintes. C’est au...
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