Avant la publication des résolutions du Conseil des ministres ajournant l’adoption des mesures fiscales préconisées par le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, le bureau exécutif de la Confédération générale des travailleurs du Liban avait tenu, dans la matinée d’hier, une réunion extraordinaire sous la présidence de M. Ghanim Zoghbi.
A l’issue de celle-ci, il avait fait paraître un communiqué rejetant toute augmentaion du prix de l’essence et menaçant, le cas échéant, de recourir à une grève générale de trois jours, à partir du mercredi 3 septembre.
Le communiqué a, par ailleurs, invité les responsables à donner satisfaction rapidement aux revendications de la centrale syndicale concernant notamment le réajustement des salaires, l’amélioration des prestations sociales et l’octroi de l’augmentation de 20% aux fonctionnaires du secteur public.
De son côté, dans une déclaration qu’il a faite hier, le président de la cenrale syndicale non reconnue par l’Etat, M. Elias Abou-Rizk, a exprimé son étonnement de voir le gouvernement préconiser l’imposition de nouveaux taxes et impôts, «comme s’il vivait en marge de l’épreuve du peuple ou comme s’il s’agissait du gouvernement d’un autre peuple».
M. Abou-Rizk a, en outre, prévu de voir le gouvernement imposer un surplus de taxes et d’impôts «étant donné qu’il se trouve dans une impasse n’ayant d’autre issue que de recourir à plus d’endettement, donc à plus de dettes et à un service croissant de la dette».
Il a conclu en indiquant que le conseil exécutif de la C.G.T.L. tiendra des réunions successives au cours desquelles il recommandera le recours à la grève et aux manifestations afin de dissuader les responsables de prendre des mesures improvisées et anarchiques.
A l’issue de celle-ci, il avait fait paraître un communiqué rejetant toute augmentaion du prix de l’essence et menaçant, le cas échéant, de recourir à une grève générale de trois jours, à partir du mercredi 3 septembre.
Le communiqué a, par ailleurs, invité les responsables à donner satisfaction rapidement aux revendications de la centrale syndicale concernant notamment le réajustement des salaires, l’amélioration des prestations sociales et l’octroi de l’augmentation de 20% aux fonctionnaires du secteur public.
De son côté, dans une déclaration qu’il a faite hier, le président de la cenrale syndicale non reconnue par l’Etat, M. Elias Abou-Rizk, a exprimé son étonnement de voir le gouvernement préconiser l’imposition de nouveaux taxes et impôts, «comme s’il vivait en marge de l’épreuve du peuple ou comme s’il s’agissait du gouvernement d’un autre peuple».
M. Abou-Rizk a, en outre, prévu de voir le gouvernement imposer un surplus de taxes et d’impôts «étant donné qu’il se trouve dans une impasse n’ayant d’autre issue que de recourir à plus d’endettement, donc à plus de dettes et à un service croissant de la dette».
Il a conclu en indiquant que le conseil exécutif de la C.G.T.L. tiendra des réunions successives au cours desquelles il recommandera le recours à la grève et aux manifestations afin de dissuader les responsables de prendre des mesures improvisées et anarchiques.
Avant la publication des résolutions du Conseil des ministres ajournant l’adoption des mesures fiscales préconisées par le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, le bureau exécutif de la Confédération générale des travailleurs du Liban avait tenu, dans la matinée d’hier, une réunion extraordinaire sous la présidence de M. Ghanim Zoghbi.A l’issue de celle-ci, il avait...
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