L’ancien président algérien Ahmad Ben Bella a estimé hier que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu constituait «un danger pour Israël encore plus que pour les Arabes».
M. Ben Bella s’exprimait à l’issue d’un entretien au palais de Baabda avec le chef de l’Etat Elias Hraoui.
Il était arrivé dimanche soir à Beyrouth pour une visite d’une semaine à l’invitation d’associations culturelles à l’occasion de la commémoration du 45e anniversaire de la révolution égyptienne du 23 juillet 1952.
«Nous affrontons aujourd’hui un loup qui s’appelle Netanyahu, un intégriste, un homme entêté. Mais je pense que cette situation ne va durer longtemps, car c’est un danger encore plus pour Israël que pour les Arabes», a déclaré l’ancien président algérien.
«Les Arabes sont aujourd’hui 260 millions. Dans trente ans, nous serons 565 millions. M. Netanyahu devrait réfléchir à cela, lui et les sages dans son pays», a-t-il dit.
Par la suite, M. Ben Bella a effectué une tournée au Liban-Sud, visitant Tyr, Cana, où il a déposé une gerbe devant le monument aux victimes du massacre du 18 avril 1996, et enfin Saïda, où il a rencontré le député Moustapha Saad.
M. Ben Bella s’exprimait à l’issue d’un entretien au palais de Baabda avec le chef de l’Etat Elias Hraoui.
Il était arrivé dimanche soir à Beyrouth pour une visite d’une semaine à l’invitation d’associations culturelles à l’occasion de la commémoration du 45e anniversaire de la révolution égyptienne du 23 juillet 1952.
«Nous affrontons aujourd’hui un loup qui s’appelle Netanyahu, un intégriste, un homme entêté. Mais je pense que cette situation ne va durer longtemps, car c’est un danger encore plus pour Israël que pour les Arabes», a déclaré l’ancien président algérien.
«Les Arabes sont aujourd’hui 260 millions. Dans trente ans, nous serons 565 millions. M. Netanyahu devrait réfléchir à cela, lui et les sages dans son pays», a-t-il dit.
Par la suite, M. Ben Bella a effectué une tournée au Liban-Sud, visitant Tyr, Cana, où il a déposé une gerbe devant le monument aux victimes du massacre du 18 avril 1996, et enfin Saïda, où il a rencontré le député Moustapha Saad.
L’ancien président algérien Ahmad Ben Bella a estimé hier que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu constituait «un danger pour Israël encore plus que pour les Arabes».M. Ben Bella s’exprimait à l’issue d’un entretien au palais de Baabda avec le chef de l’Etat Elias Hraoui.Il était arrivé dimanche soir à Beyrouth pour une visite d’une semaine à...
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