Dans une question écrite adressée au Conseil des ministres par l’intermédiaire du président de l’Assemblée nationale, M. Nabih Berry, M. el-Khalil a notamment affirmé que le fait de ne pas avoir majoré les salaires des fonctionnaires à l’instar du secteur privé «va à l’encontre du principe d’égalité entre les citoyens, garanti par la Constitution». Et le député d’interroger le gouvernement: «Comment justifier l’existence de deux salaires minimums dans le pays: l’un de 300.000 L.L. dans le secteur privé, et l’autre de 250.000 L.L. dans le public? Si le gouvernement n’a pas accordé cette augmentation sous prétexte qu’elle compte approuver la nouvelle échelle des salaires, qu’est ce qui empêche que cette majoration soit considérée comme un acompte?»
Actualités - CHRONOLOGIE
Question de Khalil au gouvernement : quid de l'augmentation de 20% aux fonctionnaires ?
le 17 juillet 1997 à 00h00
Dans une question écrite adressée au Conseil des ministres par l’intermédiaire du président de l’Assemblée nationale, M. Nabih Berry, M. el-Khalil a notamment affirmé que le fait de ne pas avoir majoré les salaires des fonctionnaires à l’instar du secteur privé «va à l’encontre du principe d’égalité entre les citoyens, garanti par la Constitution». Et le député d’interroger le gouvernement: «Comment justifier l’existence de deux salaires minimums dans le pays: l’un de 300.000 L.L. dans le secteur privé, et l’autre de 250.000 L.L. dans le public? Si le gouvernement n’a pas accordé cette augmentation sous prétexte qu’elle compte approuver la nouvelle échelle des salaires, qu’est ce qui empêche que cette majoration soit considérée comme un acompte?»
Le député Ali el-Khalil a interrogé hier le gouvernement sur les raisons pour lesquelles celui-ci n’a pas encore accordé aux fonctionnaires l’augmentation de 20% à laquelle le secteur privé a déjà eu droit l’an dernier.Dans une question écrite adressée au Conseil des ministres par l’intermédiaire du président de l’Assemblée nationale, M. Nabih Berry, M. el-Khalil...
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