Elias Abou Rizk qui croupit dans sa cellule grise depuis une éternité. Yasser Nehmé qui s’en sort au bout d’une demi-journée. Question de cultures différentes, de connaissance et de reconnaissance: le pouvoir n’oublie ni les anciens amis auxquels il pardonne ni les ennemis qu’il emprisonne.
Quand il le peut, quand on le lui permet.
Car le PKK ou le Toufayli subversif — cas beaucoup plus graves, on le rappelle, que tout ce qu’a pu faire la CGTL —, on les laisse libres comme l’air, toujours actifs. Comme des volcans.
Sage prudence et il faut toujours, disent Proust et la commère, au grondement du tonnerre préférer le cancan...
J.I.
Elias Abou Rizk qui croupit dans sa cellule grise depuis une éternité. Yasser Nehmé qui s’en sort au bout d’une demi-journée. Question de cultures différentes, de connaissance et de reconnaissance: le pouvoir n’oublie ni les anciens amis auxquels il pardonne ni les ennemis qu’il emprisonne.Quand il le peut, quand on le lui permet.Car le PKK ou le Toufayli subversif —...
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