— La création d’un «S.O.S.-enfants» groupant des noyaux actifs dans les différentes régions du pays.
— La sensibilisation de l’opinion sur les droits de l’enfant.
— L’intégration de l’étude des droits de l’enfant dans les programmes scolaires.
— L’abolition des dispositions juridiques libanaises incompatibles avec la convention internationale sur les droits de l’enfant.
Le Dr Carlo Akatcharian a clôturé le séminaire en soulignant que le problème des mauvais traitements infligés aux enfants est bien plus social que juridique. Il a indiqué que la société locale a un sens tout à fait particulier de la protection des enfants. «Ainsi, a-t-il dit, «on a renvoyé un enfant d’une école parce qu’il n’a pas pleuré quand il a été puni! Comment l’enfant est-il éduqué à l’école, lui qui plus tard va devenir un parent?»
Mme Hyam Kahi, directrice de l’Ecole libanaise de formation sociale, conclut que le séminaire sera suivi d’autres recherches appliquées et d’actions sur le terrain.
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