Les travaux du symposium ont pour objectif de sensibiliser tous les organismes publics et privés concernés par la santé publique à la question. L’objectif, à long terme, est de dresser une carte sanitaire du Liban. Cette tâche prendra, selon les organisateurs du symposium, quelque six mois. La recherche dans ce domaine sera financée conjointement par la France et le Liban.
Prenant la parole à l’inauguration du symposium, M. Frangié a relevé «l’état de stagnation» auquel est parvenu le secteur de la santé, en raison de l’absence de planification, et la nécessité de «s’inspirer du modèle européen pour parvenir à l’égalité sanitaire». «L’absence de carte sanitaire tend en particulier à provoquer l’élévation injustifiée des coûts: une rationalisation des dépenses, grâce à une adaptation de l’offre, s’impose donc», a-t-il conclu.
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