Dennis Ross a réussi son pari: réunir Palestiniens et Israéliens, en froid depuis deux mois. Mais les «retrouvailles» n’ont pas été plus loin qu’une simple rencontre «informelle», chacun des camps continuant à camper sur ses positions. Cela au moment où Yasser Arafat tirait la sonnette d’alarme et rappelait que le processus de paix traversait «une phase très dangereuse», car «la colonisation et la paix ne peuvent coexister».
S’adressant à une réunion de la commission de l’Internationale socialiste pour le Proche-Orient à Ramallah en Cisjordanie, le président de l’Autorité palestinienne a dénoncé «les pratiques arbitraires et les provocations de l’actuel gouvernement israélien». Après avoir déploré «l’expansion des implantations» juives dans les territoires arabes et «la judaïsation de la Ville sainte de Jérusalem et de sa banlieue», M. Arafat a souligné que «la colonisation et la paix ne peuvent coexister».
Pendant ce temps, à Herzliya, Palestiniens et Israéliens se retrouvaient sous l’égide des Etats-Unis représentés par leur envoyé spécial Dennis Ross. Participaient à la rencontre du côté palestinien, le ministre de la Coopération internationale Nabil Chaath et celui des Collectivités loccales Saëb Erakat. Côté israélien, étaient présents, le ministre de la Défense Yitzhak Mordehaï, le conseiller juridique du premier ministre Benjamin Netanyahu, Me Yitzhak Molkho, et le secrétaire du gouvernement Danny Naveh.
M. Ross et les négociateurs se sont retrouvés dans la résidence de l’ambassadeur américain en Israël Martin Indyk, dans la station balnéaire de Herzliya-Petuach, au nord de Tel-Aviv.
M. Erakat a estimé que «le plus important est la colonisation». «Si ce n’est pas débattu sérieusement, nous resterons dans un cercle vicieux», a affirmé M. Erakat aux journalistes après avoir rencontré M. Ross dans la matinée à Jéricho.
Le ministre israélien des Affaires étrangères David Lévy, qui a, lui aussi, rencontré M. Ross pour préparer la réunion de Herzliya, a insisté sur l’exigence israélienne d’une entière coopération palestinienne en matière de sécurité.
«Notre priorité est le respect par les Palestiniens des accords d’autonomie, en particulier en ce qui concerne les affaires sécuritaires», a déclaré M. Lévy aux journalistes.
S’adressant à une réunion de la commission de l’Internationale socialiste pour le Proche-Orient à Ramallah en Cisjordanie, le président de l’Autorité palestinienne a dénoncé «les pratiques arbitraires et les provocations de l’actuel gouvernement israélien». Après avoir déploré «l’expansion des implantations» juives dans les territoires arabes et «la judaïsation de la Ville sainte de Jérusalem et de sa banlieue», M. Arafat a souligné que «la colonisation et la paix ne peuvent coexister».
Pendant ce temps, à Herzliya, Palestiniens et Israéliens se retrouvaient sous l’égide des Etats-Unis représentés par leur envoyé spécial Dennis Ross. Participaient à la rencontre du côté palestinien, le ministre de la Coopération internationale Nabil Chaath et celui des Collectivités loccales Saëb Erakat. Côté israélien, étaient présents, le ministre de la Défense Yitzhak Mordehaï, le conseiller juridique du premier ministre Benjamin Netanyahu, Me Yitzhak Molkho, et le secrétaire du gouvernement Danny Naveh.
M. Ross et les négociateurs se sont retrouvés dans la résidence de l’ambassadeur américain en Israël Martin Indyk, dans la station balnéaire de Herzliya-Petuach, au nord de Tel-Aviv.
M. Erakat a estimé que «le plus important est la colonisation». «Si ce n’est pas débattu sérieusement, nous resterons dans un cercle vicieux», a affirmé M. Erakat aux journalistes après avoir rencontré M. Ross dans la matinée à Jéricho.
Le ministre israélien des Affaires étrangères David Lévy, qui a, lui aussi, rencontré M. Ross pour préparer la réunion de Herzliya, a insisté sur l’exigence israélienne d’une entière coopération palestinienne en matière de sécurité.
«Notre priorité est le respect par les Palestiniens des accords d’autonomie, en particulier en ce qui concerne les affaires sécuritaires», a déclaré M. Lévy aux journalistes.
Dennis Ross a réussi son pari: réunir Palestiniens et Israéliens, en froid depuis deux mois. Mais les «retrouvailles» n’ont pas été plus loin qu’une simple rencontre «informelle», chacun des camps continuant à camper sur ses positions. Cela au moment où Yasser Arafat tirait la sonnette d’alarme et rappelait que le processus de paix traversait «une phase très...
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