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Actualités - CHRONOLOGIE

Poursuivant ses visites protocolaires Jouanneau : la visite à Bkerké est signé de confiance en un Liban uni et maître de son destin(photos)

«Tout nouvel ambassadeur de France au Liban considère que sa visite au patriarche maronite comporte un témoignage portant trois sens: Le premier est celui de la fidélité aux chrétiens d’Orient. Le second est celui de la solidarité avec un pays qui a beaucoup souffert et qui constitue une grande valeur pour la France. Le troisième est celui d’une confiance en un Liban uni et maître de son destin. Puisse la visite de Sa Sainteté, attendue depuis longtemps, constituer une grande occasion pour consolider l’unité nationale et un espoir pour l’ensemble des Libanais».
C’est le mot qu’a inscrit sur le livre d’or du patriarcat maronite à Bkerké, le nouvel ambassadeur de France au Liban M. Daniel Jouanneau qui a rencontré hier, dans le cadre de ses visites protocolaires qu’il poursuit à la suite de la prise de ses fonctions à Beyrouth, le patriarche maronite le cardinal Mgr Nasrallah Sfeir.
M. Jouanneau devait rencontrer par la suite le ministre de l’Intérieur M. Michel Murr et le vice-président de la Chambre M. Elie Ferzli.
Dans une courte déclaration à la presse faite à l’issue de sa rencontre avec M. Ferzli, le nouvel ambassadeur de France au Liban a exprimé l’espoir de son pays de voir les pourparlers de paix reprendre dans la région.
«La France souhaite le redémarrage du processus de paix et pense que le blocage actuel nuit à la paix et perturbe la stabilité du Liban. La France et l’Europe feront tout leur possible pour que les pourparlers de paix reprennent», a-t-il dit.
Et il a ajouté: «J’ai rappelé au vice-président de la Chambre, M. Elie Ferzli, que la France est soucieuse de l’indépendance et de la souveraineté du Liban en plus de son engagement à faire exécuter la résolution 425».
«Tout nouvel ambassadeur de France au Liban considère que sa visite au patriarche maronite comporte un témoignage portant trois sens: Le premier est celui de la fidélité aux chrétiens d’Orient. Le second est celui de la solidarité avec un pays qui a beaucoup souffert et qui constitue une grande valeur pour la France. Le troisième est celui d’une confiance en un Liban uni et...