Mme Moawad a fait valoir que cette affaire pose à nouveau le problème des infractions et violations impunies et du non respect des lois protégeant l’enfant au travail.
Pour éviter une réédition d’un tel cas, la sous-commission parlementaire des droits de l’enfant a amendé la loi sur le travail de l’enfant en relevant de huit à treize ans l’âge autorisé pour faire travailler un enfant.
Elle a révélé la volonté de la sous-commission parlementaire d’apporter dans l’avenir d’autres amendements à la loi sur le travail des enfants en relevant l’âge de travail de l’enfant à 15 ans et en instituant l’enseignement complémentaire obligatoire gratuit conformément à une recommandation du Bureau international du travail. Mme Moawad a dénoncé la léthargie des organes de contrôle de l’Etat qui négligent d’enquêter sur les enfants au travail pour s’assurer de la bonne application de la législation à ce niveau.
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