Le Rassemblement national, réuni hier sous l’égide de M. Dory Chamoun, a critiqué «la légèreté» avec laquelle l’Etat a traité l’échéance des élections municipales, «en privilégiant les intérêts des responsables au détriment des considérations nationales».
Dressant un bilan négatif de l’action du pouvoir au niveau de la préparation des municipales en particulier, le R.N. a toutefois rappelé à ses partisans la nécessité de se mobiliser en prévision de cette échéance.
Par ailleurs, le Rassemblement s’en est pris au président du Conseil constitutionnel, M. Wajdi Mallat, en qualifiant sa démission de «fuite devant ses responsabilités». «Comme nous aurions apprécié sa prise de position s’il avait jeté la lumière sur toutes les ingérences auxquelles il aurait dû s’opposer au nom de la loi, et de l’intérêt supérieur de la nation. Au lieu de cela, il a pris pour prétexte une atmosphère de pressions pour justifier sa décision de bouder», ajoute le communiqué du R.N.
La réaction du B.N.
De son côté, le Bloc national a estimé que «les responsables au pouvoir fuient l’échéance des municipales en violant la Constitution et tous les principes démocratiques». Selon le B.N., «cette fuite est l’une des phases d’un processus visant à vider de leur substance les institutions démocratiques, tout en contraignant les Libanais à s’incliner devant le fait accompli».
Par ailleurs, le communiqué du Bloc affirme que le Liban est exposé à des «pressions considérables dont le but est d’abolir la classe moyenne pour revenir au système féodal (...) et d’immoler la liberté au nom de l’unité».
Enfin, le B.N. souligne la nécessité de respecter «l’indépendance de la justice et de l’Université libanaise car il n’y a pas de démocratie en l’absence d’une justice et d’une pensée indépendantes».
Dressant un bilan négatif de l’action du pouvoir au niveau de la préparation des municipales en particulier, le R.N. a toutefois rappelé à ses partisans la nécessité de se mobiliser en prévision de cette échéance.
Par ailleurs, le Rassemblement s’en est pris au président du Conseil constitutionnel, M. Wajdi Mallat, en qualifiant sa démission de «fuite devant ses responsabilités». «Comme nous aurions apprécié sa prise de position s’il avait jeté la lumière sur toutes les ingérences auxquelles il aurait dû s’opposer au nom de la loi, et de l’intérêt supérieur de la nation. Au lieu de cela, il a pris pour prétexte une atmosphère de pressions pour justifier sa décision de bouder», ajoute le communiqué du R.N.
La réaction du B.N.
De son côté, le Bloc national a estimé que «les responsables au pouvoir fuient l’échéance des municipales en violant la Constitution et tous les principes démocratiques». Selon le B.N., «cette fuite est l’une des phases d’un processus visant à vider de leur substance les institutions démocratiques, tout en contraignant les Libanais à s’incliner devant le fait accompli».
Par ailleurs, le communiqué du Bloc affirme que le Liban est exposé à des «pressions considérables dont le but est d’abolir la classe moyenne pour revenir au système féodal (...) et d’immoler la liberté au nom de l’unité».
Enfin, le B.N. souligne la nécessité de respecter «l’indépendance de la justice et de l’Université libanaise car il n’y a pas de démocratie en l’absence d’une justice et d’une pensée indépendantes».
Le Rassemblement national, réuni hier sous l’égide de M. Dory Chamoun, a critiqué «la légèreté» avec laquelle l’Etat a traité l’échéance des élections municipales, «en privilégiant les intérêts des responsables au détriment des considérations nationales».Dressant un bilan négatif de l’action du pouvoir au niveau de la préparation des municipales en...
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