C’est ce qu’a expliqué hier le vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur, M. Michel Murr, à l’issue d’une réunion qui a précédé la séance plénière de la Chambre et à laquelle ont participé le vice-président de l’Assemblée nationale, M. Elie Ferzli, et les députés Mohamed Youssef Beydoun et Mohamed Abdel Hamid Beydoun.
Les observations proposées par le gouvernement constituent «des questions de pure forme qui ne touchent en rien au fond de la question», a affirmé M. Murr qui a encore souligné que «si ces observations doivent constituer un obstacle à l’organisation des élections, nous sommes prêts à y renoncer et à faire comme si elles n’avaient existé».
Sur un autre plan, M. Murr a réitéré ses propos concernant les écoutes téléphoniques. «J’ai bien précisé hier que les organismes de sécurité étatiques n’ont pas les moyens de procéder à des écoutes des lignes cellulaires. Nous ne savons pas cependant si les compagnies de téléphone disposent de telles capacités».
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