«Nous avons discuté de privatisation à la lumière de notre expérience. Nous avons accéléré ce mouvement dans le but de drainer le plus de capitaux dans les délais les plus courts. Nous attendons l’arrivée des hommes d’affaires libanais pour racheter des usines et créer des sociétés mixtes. Nous comptons énormément sur leur participation».
C’est ce qu’a indiqué M. Gheorghe Popescu, secrétaire général du ministère roumain des Affaires étrangères, actuellement en visite officielle à Beyrouth, à l’issue de l’entrevue qu’il a eue hier avec M. Farès Boueiz, ministre des A.E.
M. Popescu a indiqué aussi avoir discuté avec M. Boueiz de la possibilité de la création d’une banque libano-roumaine au capital mixte.
Il a précisé que «M. Adnan Kassar, PDG de la Fransabank, se rendra le mois prochain à Bucarest pour de plus amples contacts concernant ce projet».
Avant d’être reçu par M. Boueiz, M. Popescu s’était entretenu avec son homologue libanais M. Zafer el-Hassan et s’était rendu au siège de Solidere.
Dans l’après-midi, le diplomate roumain a rencontré M. Yassine Jaber, ministre de l’Economie et du Commerce, et a eu une réunion de travail à la Chambre de commerce et d’industrie de Beyrouth.
C’est ce qu’a indiqué M. Gheorghe Popescu, secrétaire général du ministère roumain des Affaires étrangères, actuellement en visite officielle à Beyrouth, à l’issue de l’entrevue qu’il a eue hier avec M. Farès Boueiz, ministre des A.E.
M. Popescu a indiqué aussi avoir discuté avec M. Boueiz de la possibilité de la création d’une banque libano-roumaine au capital mixte.
Il a précisé que «M. Adnan Kassar, PDG de la Fransabank, se rendra le mois prochain à Bucarest pour de plus amples contacts concernant ce projet».
Avant d’être reçu par M. Boueiz, M. Popescu s’était entretenu avec son homologue libanais M. Zafer el-Hassan et s’était rendu au siège de Solidere.
Dans l’après-midi, le diplomate roumain a rencontré M. Yassine Jaber, ministre de l’Economie et du Commerce, et a eu une réunion de travail à la Chambre de commerce et d’industrie de Beyrouth.
«Nous avons discuté de privatisation à la lumière de notre expérience. Nous avons accéléré ce mouvement dans le but de drainer le plus de capitaux dans les délais les plus courts. Nous attendons l’arrivée des hommes d’affaires libanais pour racheter des usines et créer des sociétés mixtes. Nous comptons énormément sur leur participation».C’est ce qu’a indiqué...
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