Le Parti national libéral (PNL) a fustigé hier le gouvernement au sujet de sa politique à l’égard de l’Université libanaise, estimant que la nomination mercredi par le Conseil des ministres de trois doyens à l’UL selon des critères «clientélistes» avait occasionné un «choc violent».
«Tous ceux qui réclamaient et qui réclament toujours le respect de l’autonomie de l’UL et des mesures pour consolider cette institution nationale éprouvent une grande déception», ajoute un communiqué publié par le conseil supérieur du PNL à l’issue d’une réunion présidée par le chef du parti Dory Chamoun.
Le texte souligne que «les décrets, arrangés, qui stipulent la nomination de trois doyens ont consacré la formule du partage du gâteau entre les dirigeants, en ne tenant aucun compte des mécanismes habituels de désignation des doyens, ni des lois en vigueur, ni des conditions de compétence requises» des personnes nommées.
Outre la nomination de trois nouveaux doyens, le gouvernement avait annoncé mercredi la création d’une faculté de tourisme et d’hôtellerie à l’UL.
Le communiqué du PNL critique d’autre part les dirigeants pour «le mépris» dont ces derniers font preuve, selon lui, en ce qui concerne la préparation des élections municipales, prévues en juin prochain.
Le parti reproche au gouvernement de maintenir le vague au sujet de la loi sur les municipalités et, d’autre part, d’avoir fixé un délai trop court pour le retrait des cartes électorales. Rappelons que ce délai expire normalement fin mars et que les autorités n’ont pas encore indiqué si elles envisageaient ou non son extension.
Le PNL relève par ailleurs que les conditions économiques dans le pays se sont aggravées, en soulignant que les causes en sont «la croissance du chômage, la rareté des investissements, la violation des frontières et la concurrence déloyale pratiquée sur des produits qui envahissent le marché».
Le PNL estime enfin que les factures d’électricité atteignent ces temps-ci des montants «anormaux et absurdes», et déplore le fait que «seule une partie des citoyens s’en acquitte».
«Tous ceux qui réclamaient et qui réclament toujours le respect de l’autonomie de l’UL et des mesures pour consolider cette institution nationale éprouvent une grande déception», ajoute un communiqué publié par le conseil supérieur du PNL à l’issue d’une réunion présidée par le chef du parti Dory Chamoun.
Le texte souligne que «les décrets, arrangés, qui stipulent la nomination de trois doyens ont consacré la formule du partage du gâteau entre les dirigeants, en ne tenant aucun compte des mécanismes habituels de désignation des doyens, ni des lois en vigueur, ni des conditions de compétence requises» des personnes nommées.
Outre la nomination de trois nouveaux doyens, le gouvernement avait annoncé mercredi la création d’une faculté de tourisme et d’hôtellerie à l’UL.
Le communiqué du PNL critique d’autre part les dirigeants pour «le mépris» dont ces derniers font preuve, selon lui, en ce qui concerne la préparation des élections municipales, prévues en juin prochain.
Le parti reproche au gouvernement de maintenir le vague au sujet de la loi sur les municipalités et, d’autre part, d’avoir fixé un délai trop court pour le retrait des cartes électorales. Rappelons que ce délai expire normalement fin mars et que les autorités n’ont pas encore indiqué si elles envisageaient ou non son extension.
Le PNL relève par ailleurs que les conditions économiques dans le pays se sont aggravées, en soulignant que les causes en sont «la croissance du chômage, la rareté des investissements, la violation des frontières et la concurrence déloyale pratiquée sur des produits qui envahissent le marché».
Le PNL estime enfin que les factures d’électricité atteignent ces temps-ci des montants «anormaux et absurdes», et déplore le fait que «seule une partie des citoyens s’en acquitte».
Le Parti national libéral (PNL) a fustigé hier le gouvernement au sujet de sa politique à l’égard de l’Université libanaise, estimant que la nomination mercredi par le Conseil des ministres de trois doyens à l’UL selon des critères «clientélistes» avait occasionné un «choc violent».«Tous ceux qui réclamaient et qui réclament toujours le respect de l’autonomie de l’UL et...
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