Le premier juge d’instruction de Beyrouth, M. Saïd Mirza, a rejeté hier la demande de relaxation d’Oumayya Abboud, accusée de complicité avec les cinq membres présumés de l’Armée rouge japonaise, poursuivis pour falsification de cachets officiels, de fraude et de séjour illicite au Liban.
La demande avait été présentée lundi par l’avocat d’Oumayya, Me Hani Sleiman.
Sur un autre plan, la délégation japonaise qui se trouve depuis quelque temps au Liban pour suivre l’évolution de l’enquête, s’est rendue hier auprès du procureur de la République, M. Adnane Addoum, à qui elle a demandé des copies des articles de loi en vertu desquels des poursuites judiciares avaient été engagées contre les cinq Japonais, Kozo Okamoto, Masao Adachi, Mariko Yamamoto, Hartuo Wako et Kzuo Hikodachi.
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, M. Saïd Mirza, a rejeté hier la demande de relaxation d’Oumayya Abboud, accusée de complicité avec les cinq membres présumés de l’Armée rouge japonaise, poursuivis pour falsification de cachets officiels, de fraude et de séjour illicite au Liban.La demande avait été présentée lundi par l’avocat d’Oumayya, Me Hani...
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